Dans cet article, nous explorerons Vittel sous un angle nouveau et détaillé, en analysant ses différents aspects et caractéristiques pour offrir une vision complète et enrichissante sur ce sujet. Au fil des prochaines lignes, nous approfondirons ses origines, son évolution historique et sa pertinence aujourd’hui, ainsi que ses implications possibles dans différents contextes. À travers une analyse exhaustive, nous visons à faire la lumière sur Vittel et à fournir des perspectives nouvelles et fascinantes qui nous invitent à réfléchir et à approfondir ce sujet.
Vittel | |
De haut en bas et de gauche à droite: panorama de la ville; la source Hépar; l'Hôtel-de-Ville; publicité lors du Tour de France; le casino; l'église St-Rémy; le Grand-Hôtel; l'usine d'embouteillage. |
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Blason |
Logo |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Neufchâteau |
Intercommunalité | Communauté de communes Terre d'Eau |
Maire Mandat |
Franck Perry 2020-2026 |
Code postal | 88800 |
Code commune | 88516 |
Démographie | |
Gentilé | Vittellois, Vittelloise |
Population municipale |
4 793 hab. (2021 ) |
Densité | 199 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 12′ 09″ nord, 5° 57′ 01″ est |
Altitude | 335 m Min. 322 m Max. 457 m |
Superficie | 24,13 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Vittel (ville isolée) |
Aire d'attraction | Vittel - Contrexéville (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Vittel (bureau centralisateur) |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.ville-vittel.fr |
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Vittel est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est, connue mondialement pour son eau minérale.
Ses habitants sont appelés les Vittellois.
Vittel est située à environ 40 km à l'ouest de la préfecture Épinal, dans l'arrondissement de Neufchâteau et à 1 h au sud de Nancy.
Les communes limitrophes sont They-sous-Montfort, Contrexéville, Haréville, Lignéville, Norroy, Parey-sous-Montfort, Saint-Remimont, Thuillières et Valleroy-le-Sec.
Vittel se trouve dans une région vallonnée en bordure du Plateau lorrain à quelques dizaines de kilomètres du massif des Vosges.
La ville est située à quelques kilomètres du bassin houiller keupérien des Vosges,.
La commune est située dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Petit Vair, le ruisseau de Belle Fontaine, le ruisseau de They, le ruisseau de la Malmaison et le ruisseau du Pre Janneton,.
Le Petit Vair, d'une longueur totale de 15,6 km, prend sa source dans la commune de Thuillières et se jette dans le Vair à Saint-Remimont, en limite avec Belmont-sur-Vair, après avoir traversé six communes.
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges.
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 979 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lignéville », sur la commune de Lignéville à 4 km à vol d'oiseau, est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le ,,.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −1 | −0,6 | 1,7 | 5,1 | 8,3 | 12,1 | 13,8 | 13,6 | 10,2 | 7 | 3,3 | 0,2 | 6,1 |
Température moyenne (°C) | 1,3 | 2,4 | 6 | 10,2 | 13,3 | 17,5 | 19,3 | 18,8 | 15,2 | 10,7 | 5,9 | 2,4 | 10,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 3,6 | 5,4 | 10,3 | 15,3 | 18,4 | 23 | 24,7 | 24 | 20,2 | 14,4 | 8,5 | 4,6 | 14,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−12,9 10.01.03 |
−15 07.02.12 |
−13,9 01.03.05 |
−6,9 08.04.03 |
−0,2 05.05.19 |
2,9 05.06.09 |
6,4 02.07.11 |
6,3 11.08.16 |
1,6 25.09.02 |
−4,9 29.10.12 |
−9,9 30.11.10 |
−17,5 20.12.09 |
−17,5 2009 |
Record de chaleur (°C) date du record |
14,2 01.01.23 |
20,2 27.02.19 |
23,7 31.03.21 |
27,6 21.04.18 |
30,2 24.05.09 |
35,4 26.06.19 |
38,7 25.07.19 |
37,8 09.08.03 |
32,3 16.09.20 |
26,1 08.10.23 |
20,9 07.11.15 |
15,5 17.12.19 |
38,7 2019 |
Ensoleillement (h) | 579 | 849 | 163 | 2 009 | 2 163 | 2 362 | 252 | 2 222 | 1 908 | 115 | 625 | 468 | 18 483 |
Précipitations (mm) | 73 | 62 | 59,5 | 52,2 | 78,6 | 77,8 | 66 | 74,4 | 60,4 | 90,7 | 80,6 | 81,1 | 856,3 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
3,6 −1 73 | 5,4 −0,6 62 | 10,3 1,7 59,5 | 15,3 5,1 52,2 | 18,4 8,3 78,6 | 23 12,1 77,8 | 24,7 13,8 66 | 24 13,6 74,4 | 20,2 10,2 60,4 | 14,4 7 90,7 | 8,5 3,3 80,6 | 4,6 0,2 81,1 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Vittel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. Elle appartient à l'unité urbaine de Vittel, une unité urbaine monocommunale de 5 071 habitants en 2017, constituant une ville isolée,.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville, dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants,.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (25,7 %), prairies (24,5 %), forêts (22,5 %), zones urbanisées (13,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (10,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
La ville possède un centre historique construit pendant le développement du thermalisme. Le reste de l’agglomération est essentiellement composé de lotissements pavillonnaires tels que : le Gros Buisson, le Brahaut ou la Petite Fin.
Vittel est desservie par l'autoroute A31, connecté au contournement de la ville, inauguré en 1998, et se situe entre l'autoroute A31 et Épinal.
Les rues principales sont la rue de Verdun où l'on trouve une grande partie des commerces de proximité, ainsi que l'avenue Bouloumié située dans le quartier Thermal de la ville.
Vittel est sur la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt, à double voie, inaugurée en 1881. Du fait du mauvais entretien et d'une fréquentation faible, le service voyageurs a été interrompu le 17 décembre 2016. Le trafic voyageurs a repris en avril 2019, à raison d’un train tous les vendredis dans le sens Paris - Vittel et un train tous les dimanches dans le sens Vittel - Paris.
L'aérodrome de Vittel - Champ de courses a été fermé en 2004.
In pasturis Vitelli (1195) ; Vitel (XIe ou XIIe siècle) ; Apud Vytel villam (1218) ; De Witello (1250) ; Vittel (1256) ; Viltel (1295) ; Vitels (1299) ; Vitelz (1298) ; Viteilz (XIVe siècle) ; Viteil (1335) ; Vitello (1402).
Vittel était partagée en deux sections par le Petit Vair. Sur la rive gauche était le Grand-Ban et sur la rive droite, le Petit-Ban, au duc de Lorraine. Ainsi, bien que compact, le village avait deux justices et deux paroisses. Le Grand-Ban avait pour patron saint Remi, fêté le 1er octobre, et le Petit-Ban, saint Privat, honoré le 21 août. Pour couper court aux querelles, l'évêque de Toul accorda, en 1734, deux fêtes patronales à Vittel. La Révolution mit fin à cette division en faisant de Vittel un chef-lieu de canton.
Station thermale fréquentée par les Romains, elle n'est exploitée à l'époque contemporaine qu'à partir de 1854.
La commune de Vittel voit son destin irrémédiablement lié au thermalisme dès 1854 lorsqu’une fontaine fut achetée par un curiste originaire de Rodez, Louis Bouloumié, avocat convaincu par les bienfaits de l’eau de Vittel.
L’eau issue de la fontaine de Gérémoy, du nom du territoire où elle est située, soignera officiellement dès 1855 la goutte, la gravelle, le diabète, la vessie et les voies urinaires.
L’établissement thermal autorisé par le gouvernement sera la première pierre d’un grand édifice que formera rapidement la station thermale de Vittel.
Du au , un camp d'internement dénommé « camp d'accueil », le Camp d'internement de Vittel, fut instauré par l'occupant allemand dans le parc thermal. Il rassembla environ deux mille femmes britanniques, canadiennes puis américaines destinées à servir de monnaie d'échange.
En janvier 1943 s’y ajoutèrent trois cents juifs venus de Drancy, d'URSS et de Pologne. Parmi les internés venus du ghetto de Varsovie figurait Mary Berg. Elle fut échangée contre des prisonniers allemands et partit pour les États-Unis où elle arriva le 16 mars 1944. Elle rédigea un journal, Warsaw Ghetto : A Diary. Elle y décrit un camp destiné à rassurer la Croix-Rouge, où les conditions étaient donc bonnes.
Parmi les autres internés, Sofka Skipwith, et Hillel Seidman.
Madeleine Steinberg, internée britannique, parle également du camp de Vittel dans ses mémoires, Les Camps de Besançon et de Vittel.
Parmi les internés figuraient aussi le poète yiddish Ytshak Katzenelson et son fils Zvi, déportés le 29 avril 1944 à Auschwitz, et gazés dès leur arrivée, le 1er mai 1944, comme le furent presque tous les internés polonais. Katzenelson avait eu le temps d'enterrer son poème Le Chant du peuple juif assassiné, écrit à Vittel.
Édouard Herriot fut interné à la villa Suzanne du 12 avril au 2 août 1943.
La ville fut libérée par la division Leclerc le 12 septembre 1944.
En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi :
Avec les taux de fiscalité suivants :
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 890 €.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004.
En 2021, la commune comptait 4 793 habitants, en diminution de 8,06 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Très axée sur des activités sportives, Vittel, confinée jadis dans le traitement des problèmes rénaux et hépatiques, a connu le début d'un renouveau avec l'implantation du Club Méditerranée en 1973. Le lancement du « passeport forme » a confirmé son nouvel envol.
Vittel est également la marque d'eau minérale commercialisée dans le monde entier. Elle fait partie du groupe Nestlé depuis 1992. Nestlé Waters emploie près de 600 personnes à Vittel et verse à la ville une surtaxe sur les eaux minérales naturelles d'environ 4 millions d'euros par an.
La maison du patrimoine permet de se documenter sur l'histoire de Vittel et notamment sur son histoire thermale. L'ensemble des constructions thermales ont été inscrites aux monuments historiques en 1990.
Les thermes accueillent des œuvres des architectes Charles Garnier, Fernand César et Auguste Bluysen. On y trouve un édicule qui abrite la source des Demoiselles (1859), l'établissement thermal (1884), le hall de l'établissement thermal (1905), la grande galerie (1897 à 1938), le palmarium avec sa piscine couverte (1911 à 1936), et le pavillon de la Grande-Source (1930). Les thermes sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du .
Le parc Thermal abrite non seulement les thermes mais également un ensemble de petits éléments et d'édicules dessinés par l'architecte Fernand César pour la Société générale des eaux minérales de Vittel au début du XXe siècle qui sont tous inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du :
Les infrastructures sportives des thermes ont été créées pour la station thermale dans la première moitié du XXe siècle. Elles comprennent des constructions des architectes Fernand César et André Colin : le champ de courses avec la tribune (1904), le pavillon de lawn-tennis (1911), le chalet PMU (1923), l'institut d'éducation physique (1926) avec ses deux pavillons d'escrime sous hangar, le pavillon des cadets (1930) et le pavillon de pesage de (1935). Cet ensemble d'infrastructures sportives est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du .
L'ensemble hôtelier thermal regroupe trois édifices représentatifs de l'hôtellerie de la station thermale : l'hôtel Vittel-Palace (construit par Fernand Nachon en 1900, agrandi par Fernand César de 1932 à 1934) qui possède une coupole vitrée avec des motifs géométriques par le maître-verrier nancéien André Lemoine, le Grand-Hôtel (édifié par Georges Walwein de 1912 à 1920), et l'hôtel Ermitage (construit par Fernand César en 1929). L'ensemble est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du .
Un ensemble de plusieurs villas : la villa Nino (1886-1887 par Charles Garnier pour son fils Christian Garnier), la villa Saint-Pierre (ancienne villa Debrousse de 1893 par Charles Garnier pour Pierre Bouloumié), la villa Minima qui est une extension de la villa Nino (1905) et les villas jumelles Sainte-Marie et Saint-Louis (1912 par André Colin). Cet ensemble est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du .
Le casino de Vittel, créé en 1882 dans le parc thermal, a été reconstruit par Auguste Bluysen en 1929-1930. Il conserve les murs de l'ancien théâtre du casino construit par Fernand Nachon en 1908 et incendié en 1920. Les fontaines et luminaires datent de 1934 et 1937. Le casino été réhabilité dans un décor plus contemporain en 2009. On peut y jouer aux machines à sous, au jackpot, au black jack, à la roulette anglaise et au Texas hold’em poker. Le casino, ainsi que les terrasses avec la fontaine et les luminaires, sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du .
La gare de Vittel a été construite en 1926 par la compagnie des chemins de fer de l'Est pour remplacer le bâtiment originel de 1881 construit lors de l'ouverture de la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt. De style néoclassique pour l'extérieur, elle possède un grand porche d'entrée à colonnes doriques avec deux ailes de part et d'autre de celui-ci. À l'intérieur, le mobilier est de style Art déco avec notamment un sol carrelé imitant celui d'un établissement de bains. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques depuis l'arrêté du .
Blasonnement :
Écartelé aux 1 et 4 losangé d'or et de sable qui est de Lignéville, aux 2 et 3 de gueules à deux clefs d'argent en sautoir qui est de Remiremont, sur le tout de gueules taillé ondé d'or.
Commentaires : le blason, associant les armes de deux suzerains, rappelle la partition des deux bans. La devise « Fonte revivisco » (« je revis par une source ») évoque la prospérité récente de Vittel depuis la découverte des eaux minérales en 1854.
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