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Élisabeth Hubert | |
Fonctions | |
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Ministre de la Santé publique et de l'Assurance maladie | |
– (5 mois et 20 jours) |
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Président | Jacques Chirac |
Gouvernement | Alain Juppé I |
Prédécesseur | Philippe Douste-Blazy |
Successeur | Hervé Gaymard |
Députée française | |
– (6 ans, 11 mois et 26 jours) |
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Élection | 12 juin 1988 |
Réélection | 28 mars 1993 |
Circonscription | 2e de la Loire-Atlantique |
Législature | VIIIe, IXe et Xe (Cinquième République) |
Groupe politique | RPR |
Prédécesseur | Proportionnelle par département |
Successeur | Vincent Delaroux |
– (2 ans, 1 mois et 12 jours) |
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Élection | 16 mars 1986 |
Circonscription | Loire-Atlantique |
Législature | VIIIe (Cinquième République) |
Groupe politique | RPR |
Biographie | |
Nom de naissance | Élisabeth Michèle Adélaïde Marie Hubert |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Le Lude, Sarthe, France |
Nationalité | Française |
Parti politique | RPR |
Profession | Médecin |
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Élisabeth Hubert, née le au Lude (Sarthe), est une femme politique française. Elle est ministre de la Santé publique et de l'Assurance maladie dans le premier gouvernement d'Alain Juppé, de mai à .
Elle a suivi sa scolarité à l'Institut Saint-Dominique à Saint-Herblain puis a obtenu son doctorat en médecine à la faculté de médecine de Nantes.
Élisabeth Hubert exerce en tant que médecin à partir de 1981. Elle milite au sein de la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF). Elle participe à la fondation de l’Union nationale des omnipraticiens français, la branche généraliste de la CSMF.
En 1981, Élisabeth Hubert rejoint le RPR. En 1983, elle est élue conseillère municipale de Nantes, mandat qu'elle occupe jusqu'en 2001.
Elle est élue députée de la 2e circonscription de la Loire-Atlantique de 1986 à 1995. Elle est nommée déléguée nationale pour les professions libérales et membre du bureau politique du RPR de 1994 à 1995.
En , la liste conduite par Élisabeth Hubert est battue lors des élections municipales à Nantes par la liste de Jean-Marc Ayrault.
En , Élisabeth Hubert est nommée ministre de la Santé publique et de l'Assurance maladie dans le premier gouvernement d'Alain Juppé.
Elle n’occupe que six mois son poste de ministre, puisqu'elle est remerciée avec sept autres femmes ministres du groupe des « Juppettes ».
En 1996, elle devient chargée de mission auprès du président de la République Jacques Chirac.
En 1997, Élisabeth Hubert devient directrice générale France des laboratoires pharmaceutiques Fournier. En 2004, elle devient gérante d'Alliagis.
Élisabeth Hubert est présidente d'HaD France (depuis 2007), présidente de la Fédération nationale des établissements d'hospitalisation à domicile (Fnehad) (depuis 2006), membre du Haut conseil pour l'avenir de l'Assurance-maladie (depuis 2006), administratrice du Laboratoire français de fractionnement et des biotechnologies (LFB) (depuis 2006), de TC Land (depuis 2006), de la Fondation Centaure - Recherche en sciences de la transplantation - (depuis 2007) et du laboratoire Effimune spécialisée dans le domaine de l'immunothérapie (depuis 2007).
Depuis , Élisabeth Hubert est membre du Haut comité d'évaluation de la condition militaire ; elle est, à ce titre, ancienne auditrice de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN).
En , Nicolas Sarkozy confie à Élisabeth Hubert le pilotage d’une concertation sur la médecine de proximité.
En 2020, lors de la pandémie de Covid-19, elle est nommée présidente du conseil scientifique consultatif pour la souveraineté sanitaire, programme national bénéficiant d'un budget de 780 millions d'euros.