Dans le monde d'aujourd'hui, André-Joseph Allar est devenu un sujet qui intéresse de plus en plus un grand nombre de personnes. Au fil du temps, André-Joseph Allar s’est avéré pertinent dans différents contextes et situations, ce qui a généré un grand débat sur son importance et son impact sur la société. Depuis son émergence, André-Joseph Allar a suscité l'intérêt des experts et des amateurs, qui ont consacré du temps et des efforts pour mieux le comprendre. Dans cet article, nous explorerons différents aspects de André-Joseph Allar et analyserons son influence dans différents domaines, afin de fournir une vue complète sur ce sujet très pertinent.
André Allar est le fils de Benoît David César Allar, ouvrier de l’arsenal de Toulon, et d’une couturière, Hélène Talon. Le père d'André Allar avait hérité du château du Castellet et l’avait offert à la commune. Son frère aîné, le futur architecte Gaudensi Allar, travaille d’abord à l’arsenal puis s’embauche en 1855 comme mousse sur un navire. De retour, Gaudensi est employé dans une imprimerie où il fera admettre son frère André comme apprenti en 1857. André Allar sculpte des vieux plombs de l’imprimerie. Ses dispositions pour la gravure et la sculpture sont vite remarquées, et il est embauché dans une entreprise de sculpture à Toulon. Sa mère le confie à son frère, M. Talon, qui travaille à la nouvelle cathédrale Sainte-Marie-Majeure de Marseille.
place Estrangin-Pastré : Fontaine Estrangin, 1890, représentant Mercure enfant et une sirène tenant une corne d’abondance, allégories de la Richesse du Commerce.
Nice, jardin Albert-Ier : Monument du Centenaire, 1896, commémorant le premier rattachement de Nice à la France. La statue sommitale en bronze représente une Victoire ailée prêtant serment de fidélité à la France, et le groupe en marbre figure une allégorie de Nice se donnant à la France.
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