Aujourd’hui, Apologie de crime de guerre est un sujet qui a retenu l’attention d’un public diversifié et en constante expansion. Depuis son émergence, elle a suscité des débats, des discussions et des réflexions dans différents domaines, tels que la politique, la science, la technologie, la culture et la société en général. Au fil du temps, Apologie de crime de guerre est devenu un sujet d'une grande importance et intérêt pour différentes générations, car il a réussi à transcender les barrières et les frontières, devenant un élément fondamental de la vie quotidienne de nombreuses personnes. Dans cet article, nous explorerons plus en détail l'impact de Apologie de crime de guerre et analyserons son influence sur divers aspects de la vie contemporaine.
En France, l'apologie de crime de guerre est un concept juridique et un délit pénal reposant sur la promotion et la justification de crimes de guerre.
L'apologie de crime de guerre et de crime contre l'humanité sont des délits distincts mais tous deux interdits par l'article 24, alinéa 5, de la loi du 29 juillet 1881 :
« Seront punis de la même peine ceux qui... auront fait l'apologie des crimes visés au premier alinéa, des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité, des crimes de réduction en esclavage ou d'exploitation d'une personne réduite en esclavage ou des crimes et délits de collaboration avec l'ennemi, y compris si ces crimes n'ont pas donné lieu à la condamnation de leurs auteurs,. »
La définition d'une « apologie » n'est pas précisée. Il peut s'agir de la volonté de justifier un crime, ce qui ne se confond pas avec l'éloge ni avec la provocation (incitation) à commettre ce crime : « il suffit que de tels propos, une fois projetés dans l'avenir, incitent à porter un jugement favorable sur des crimes de cette nature ». En 2015, le Conseil constitutionnel définit une apologie comme le fait de « décrire, présenter ou commenter une infraction en invitant à porter, sur elle, un jugement moral favorable ». En 2021, le site du gouvernement fournit la définition suivante : « des propos promeuvent ou justifient un crime de guerre ».