Dans cet article, nous allons explorer le sujet de Ceux de la Libération et analyser son impact sur différents aspects de la société. Ceux de la Libération est un sujet qui a suscité un grand intérêt ces derniers temps et sa pertinence transcende les frontières et les cultures. Tout au long de l’histoire, Ceux de la Libération a joué un rôle fondamental dans l’évolution de la société, et son influence reste aujourd’hui significative. Grâce à une analyse détaillée, nous examinerons les différentes facettes de Ceux de la Libération et son importance dans des domaines tels que la politique, l'économie, la culture et la vie quotidienne. De plus, nous explorerons les implications futures possibles de Ceux de la Libération et son impact sur la façon dont nous vivons et interagissons dans le monde moderne.
Ceux de la Libération (CDLL) était l'un des grands mouvements de la Résistance intérieure française (en zone occupée) pendant la Seconde Guerre mondiale.
CDLL était l'un des huit grands réseaux de résistance membre du Conseil national de la Résistance (CNR).
Ceux de la Libération est créé dès le 2 août 1940, par Maurice Ripoche, Maurice Nore et Yves Chabrol qui sont voisins dans le quartier Denfert-Rochereau (Paris XIVe). Le mouvement va tirer son nom des premières lignes du manifeste que Ripoche et ses amis rédigent dans les premières semaines : « Français, nous serons ceux de la Libération » (diffusé en octobre 1940).
À ce premier groupe se joignent rapidement Henri Pascal, Jacques Ballet, ainsi que Pierre Beuchon (officier de réserve dans les chars en 1940) ainsi que René Leduc (alias Henri) qui est responsable du réseau évasion, permettant l'exfiltration des aviateurs et soldats alliés vers l'Espagne puis l'Angleterre Le mouvement comptera bientôt plusieurs milliers de membres en zone occupée.
Au début de 1942, Roger Coquoin (alias Lenormand) (1897 - 1943) rencontre Maurice Ripoche et étend CDLL à Paris et en Province (Normandie, Champagne, Bourgogne, Vendée).
CDLL recrutera particulièrement dans les milieux de l'Aéronautique et dans le Parti social français. Son activité sera essentiellement du renseignement au profit de l'Intelligence Service britannique.
En novembre 1942, le mouvement Vengeance de François Wetterwald et Victor Dupont amorce avec CDLL un processus de fusion qui sera effectif en juin 1943.
Au printemps 1943, son nouveau chef, Roger Coquoin, convainc le journaliste Aymé Guerrin, fondateur du groupe Vercingetorix de rejoindre CDLL. En contrepartie, Aymé Guerrin devient le rédacteur en chef du nouveau journal clandestin du mouvement France Libre.
D'après Raymond Chanel, à la suite de la perte de leur contact avec l'I.S., qu'il nomme Bennett, l'Armée Volontaire se rapproche de CDLL peu avant l'arrestation de R. Chanel.
CDLL participe dès sa première réunion (le 27 mai 1943) au Conseil national de la Résistance (CNR).
Les résistants du groupe René Gallais de Fougères rallié au CDLL en août 1941 :