Dans cet article, nous explorerons la vie fascinante de Clémence, un personnage qui a laissé une marque indélébile dans l'histoire. Grâce à ses réalisations et à ses contributions, Clémence s'est révélé être un véritable pionnier dans son domaine, inspirant des générations entières par son courage et sa détermination. Depuis ses humbles débuts jusqu'à son ascension vers la gloire, Clémence a surmonté des obstacles apparemment insurmontables pour réussir. Avec un héritage qui durera pour toujours, Clémence reste une figure emblématique qui continue d'avoir un impact sur nos vies d'une manière que nous n'aurions peut-être même pas imaginée. Rejoignez-nous dans ce voyage à travers le temps alors que nous explorons la vie et l'héritage de Clémence.
La clémence est un terme utilisé pour décrire la paix, la compassion ou la miséricorde montrée par une personne vis-à-vis d'une autre, ou une requête d'une personne à l'autre pour exercer les sanctions d'une manière moins rigoureuse que la simple application des règlements.
Lorsque cette clémence est exercée directement par le pouvoir régalien dans le cadre de la Justice elle est aussi nommée grâce. Par exemple en France il est de tradition lors du jour national annuel (le 14 juillet) d'accorder des réductions de peines et lorsque la peine de mort était en vigueur de la commuer en une longue peine de prison.
La clémence est un concept essentiel de l'idéologie juridique et politique romaine, spécialement à l'époque impériale.
La clémence de César est revendiquée et reconnue. Le Sénat émit le projet d'établir un temple à la Clementia Caesaris ; ce projet n'a peut-être pas été suivi d'effet, mais on trouve une allusion à ce temple sur un denier de P. Sepullius Macer.
La clémence (clementia) est, avec le courage (virtus), la justice (justitia) et le sens du devoir (pietas), l'une des quatre vertus impériales que le Sénat reconnaît à Auguste en janvier 27 av. J.-C. ; le nom de ces quatre vertus est inscrit sur le bouclier d'or (clupeus aureus) déposé en son honneur dans la curia Julia.
Cette vertu a fait l'objet d'un dialogue de Sénèque (en 56) : De clementia.