Lorsqu'on parle de Explorer 6, il est impossible de ne pas être curieux d'en savoir plus sur ce sujet. Que ce soit en raison de sa pertinence historique, de son impact sur la société actuelle ou de son influence sur différents aspects de la vie quotidienne, Explorer 6 a capté l'attention de personnes de tous âges et de tous modes de vie. Depuis ses origines jusqu'à sa pertinence aujourd'hui, Explorer 6 a été un objet d'étude et d'intérêt pour les chercheurs, les universitaires et les curieux. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Explorer 6, ainsi que son importance et sa pertinence dans le contexte actuel.
| Organisation |
|
|---|---|
| Constructeur |
Jet Propulsion Laboratory TRW |
| Programme | Explorer |
| Domaine | Observation de la Terre |
| Statut | Mission terminée |
| Autres noms | 1959 Delta 1 |
| Base de lancement | Cape Canaveral |
| Lancement | , 14:23 GMT |
| Lanceur | Thor Able-3 |
| Fin de mission | 6 octobre 1959 |
| Durée | 61 jours |
| Désorbitage | |
| Identifiant COSPAR | 1959-004A |
| SATCAT | 00015 |
| Masse au lancement | 64,4 kg |
|---|---|
| Contrôle d'attitude | Stabilisé par rotation |
| Source d'énergie | Panneaux solaires |
| Orbite | Orbite terrestre basse elliptique |
|---|---|
| Périgée | 237 km |
| Apogée | 41900 km |
| Période de révolution | 754 minutes |
| Inclinaison | 47,0° |
Explorer 6 (ou S-2) est un satellite scientifique américain lancé le .

C'est un petit satellite sphérique pour étudier certaines radiations énergétiques, les rayons cosmiques, le géomagnétisme, la propagation des ondes radio dans l'atmosphère terrestre et les micrométéorites. Il permet de tester un système permettant de photographier la couverture nuageuse terrestre, et transmet les premières photographies de la Terre prise depuis l'orbite[1],[2].
Il sert de cible au premier essai de missile antisatellite lors du douzième et dernier tir, le 13 octobre 1959, du missile balistique lancé par avion Bold Orion depuis un B-47 Stratojet qui visa le satellite Explorer 6 à 251 km d'altitude. Le missile passe à environ 6,4 km de la cible mais, étant donné qu'il aurait pu détruire le satellite à cette distance s'il était doté d'une tête nucléaire, cet essai est considéré comme un succès[3].