Dans le monde d'aujourd'hui, Février 1957 est un sujet d'intérêt qui suscite diverses opinions et débats. Que ce soit sur le plan personnel, social ou professionnel, Février 1957 a retenu l'attention de millions de personnes à travers le monde. Ce phénomène a généré un large éventail de recherches, de discussions et de réflexions qui cherchent à comprendre et analyser les différents aspects qui le composent. Depuis ses origines jusqu'à ses possibles impacts futurs, Février 1957 a évolué et se transforme au fil du temps, devenant un sujet d'intérêt constant pour la société moderne. Dans cet article, nous approfondirons la complexité de Février 1957, en explorant ses nombreuses facettes et en analysant les différentes positions qui existent sur le sujet.
Le roi Hussein de Jordanie, devant la montée des oppositions, se résigne à former un gouvernement de tendance nationaliste arabe. Le traité d’alliance avec la Grande-Bretagne est dénoncé. Glubb Pacha est renvoyé de l’armée. La Syrie, l'Égypte et l'Arabie saoudite s’engagent à subvenir aux besoins financiers du royaume.
11 février : l'Union soviétique réagit à la « doctrine Eisenhower » par le plan Chepilov. Il prévoit la résolution pacifique des conflits, la non-ingérence dans les affaires intérieures des pays arabes, la suppression des alliances militaires et des livraisons d'armes. Il propose une neutralisation de la région avec une zone d’influence soviétique. Les États-Unis refusent.
21 février : Soekarno introduit une forme de gouvernement plus autoritariste, une démocratie à l’indonésienne. Le PNI, le PKI et la Confédération syndicale SOBSI le soutiennent. Les partis musulmans et Hatta sont hostiles, car le système implique la participation des communistes au gouvernement.
24 février : un journaliste du New York Times, Herbert Matthews, publie une série d’articles sur les rebelles cubains conduits par Fidel Castro et Che Guevara. Le régime corrompu de Batista commence à perdre ses appuis internationaux et s’en trouve affaibli. Castro compte s’assurer un sanctuaire en zone rurale et attendre les révoltes urbaines, mais le « Mouvement du 26 juillet » fait peu d’émules auprès des paysans. Le « manifeste de la Sierra Maestra », qui réclame la démocratie, des élections libres, la liberté de la presse et de terres pour les paysans (juillet), ne change rien.