De nos jours, Inventaire après décès est devenu un sujet d'actualité dans divers domaines de la société. Son impact s'est fait sentir dans la politique, l'économie, la culture et la vie quotidienne des gens. Depuis son émergence, Inventaire après décès suscite un grand intérêt et suscite des débats et des discussions autour de sa portée et de ses conséquences. Cet article cherche à explorer les multiples facettes de Inventaire après décès, en analysant son influence dans différents contextes et en offrant une vision globale de son importance dans le paysage actuel. Grâce à une approche multidisciplinaire, nous visons à aborder Inventaire après décès sous différentes perspectives, contribuant ainsi à une compréhension plus large et enrichissante de ce phénomène.
Un inventaire après décès (IAD) est un acte notarié visant à établir la liste des objets possédés par une personne lors de sa mort, assortis d'une prisée. Dressé quelques jours après le décès ou lors du mariage du parent survivant, généralement à la demande du conjoint survivant, du tuteur des enfants ou de l'enfant majeur, il permet de répartir ses biens en toute connaissance de cause entre ses héritiers.
Les inventaires après décès sont réalisés depuis l'Ancien Régime et sont extrêmement courants jusqu'à la fin du XIXe siècle, parfois pour de tout petits biens ; faute de taxe sur les successions, la plupart des biens du défunt se partageaient par accord à l'amiable.
Les inventaires après décès constituent des documents de grand intérêt pour l'historien, dans la mesure où ce dernier peut connaître la composition exacte de la fortune d'un personnage à une date donnée.
La minute de l'acte comporte :