Dans le monde d'aujourd'hui, Jean-François Revel est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large éventail de personnes. Que ce soit en raison de son impact sur la société, de son importance sur le lieu de travail ou de sa pertinence dans l'histoire, Jean-François Revel a retenu l'attention de nombreuses personnes et a suscité d'intenses débats dans divers cercles. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects de Jean-François Revel, en analysant son influence dans le passé, le présent et le futur. De ses origines à ses possibles implications à long terme, nous plongerons dans le monde de Jean-François Revel pour mieux comprendre sa portée et sa signification.
Jean-François Ricard est né le à Marseille, dans une famille d’origine franc-comtoise. Il se marie une première fois en 1945 avec la peintre Yahne Le Toumelin, dont il a un fils et une fille : Matthieu Ricard et Ève Ricard. En 1967, il épouse en secondes noces la journaliste Claude Sarraute. De cette union sont nés le haut fonctionnaire Nicolas Revel en 1966 et Véronique Revel en 1968. Il a adopté, par auto-dérision, le pseudonyme « Revel », du nom du restaurant parisien Chez Revel, puis il change légalement de patronyme.
Il se consacre ensuite entièrement au journalisme, collaborant de manière très régulière à la revue d'art L'Œil de 1961 à 1967 et à l'hebdomadaire France-Observateur. À la fin des années 1970, à la suite de son rachat par le milliardaire James Goldsmith, il devient directeur de L'Express, qu'il quitte en en signe de solidarité avec Olivier Todd, licencié par le nouveau propriétaire du journal.
En 1970, il publie son essai politique, Ni Marx ni Jésus, dans lequel il présente les États-Unis comme le fer de lance d'une nouvelle révolution mondiale,,.
↑Page 644 de l’édition intégrale des Mémoires de Jean-François Revel chez Robert Laffont, coll. « Bouquins ».
↑« LA RÉVOLUTION ET L'AMÉRIQUE " Ni Marx ni Jésus ", de J.-F. Revel », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
↑Yvon Bourdet, « Jean-François Revel, Ni Marx ni Jésus, Robert Laffont, Paris, 1970 », Autogestions, vol. 16, no 1, , p. 202–205 (lire en ligne, consulté le ).
↑Georges-Albert Astre, « Les États-Unis, «modèle révolutionnaire» ? », Raison présente, vol. 20, no 1, , p. 7–13 (DOI10.3406/raipr.1971.1511, lire en ligne, consulté le ).