Dans le monde d'aujourd'hui, Le Desk est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large éventail de personnes. Que ce soit en raison de son impact sur la société, de sa pertinence historique ou de son influence sur la culture populaire, Le Desk continue de capter l'attention de millions d'individus à travers le monde. Avec une histoire remontant à plusieurs siècles, Le Desk a évolué et s'est adapté aux changements et aux avancées de la société moderne. Dans cet article, nous explorerons en profondeur tout ce qui concerne Le Desk, de ses origines à son impact actuel sur différents aspects de la vie quotidienne.
Adresse | https://ledesk.ma/ |
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Slogan | Le cœur battant de l'actualité au Maroc |
Publicité | Oui |
Type de site | site web d'information |
Langue | français |
Siège social | Casablanca-Settat Maroc |
Directeur de la publication | Ali Amar |
Lancement | 2015 |
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Le Desk est un journal d'information indépendant marocain francophone et arabophone, fondé en novembre 2015. Son siège se trouve à Casablanca.
Fondé par les journalistes Ali Amar, ancien du Journal hebdomadaire, ainsi que par Fatima-Zahar Lqadiri et le marchand d'art marocain Aziz Aouadi.
Le Desk paraît en novembre 2015, après une année de réflexion,,,.
Le média bénéficie initialement d'un apport de fonds de Ali Amar et Fatima-Zahar Lqadiri à hauteur de 250 000 euros, d'un investissement de 250 000 euros de Aziz Aouadi et d'un financement public de 60 000 euros par l'Agence française de développement médias.
Le journal en ligne est à accès payant et ses fondateurs escomptent financer son fonctionnement par les abonnements,. L'un des principaux objectifs du média est de produire des enquêtes et des formats longs de qualité.
Après un an de fonctionnement, en octobre 2016, le média annonce sa fermeture à la fin du mois en raison de difficultés économiques dues au trop faible nombre d'abonnés (10 000 étaient nécessaires au terme de la première année d'activité) et malgré le recours, quelques mois auparavant, à la publicité sur des articles en libre-accès ; l'équipe regrette un « boycott » des annonceurs et dénonce l'interdiction par la loi marocaine du recours à des investisseurs étrangers,.
Une mobilisation sur les réseaux sociaux est à l'origine d'un demi-millier d'abonnés supplémentaires et le journal continue d'exister, en dépit d'une réduction de ses moyens et de suppressions de postes,,,,.