Aujourd'hui, Louis-Alexandre Himbert de Flégny est un sujet d'un grand intérêt et d'une grande pertinence dans la société. Depuis des décennies, Louis-Alexandre Himbert de Flégny fait l’objet de débats et de recherches, générant des opinions contradictoires et provoquant des changements importants dans divers domaines. Dans cet article, nous approfondirons la complexité de Louis-Alexandre Himbert de Flégny, en explorant ses différentes perspectives et conséquences dans notre vie quotidienne. Nous examinerons comment Louis-Alexandre Himbert de Flégny a évolué au fil du temps et comment il continue d'avoir un impact sur notre société aujourd'hui. De plus, nous aborderons les défis que présente Louis-Alexandre Himbert de Flégny, ainsi que les solutions et stratégies possibles pour les relever. Rejoignez-nous dans cette exploration passionnante de Louis-Alexandre Himbert de Flégny et découvrez ses innombrables facettes !
Préfet des Vosges | |
---|---|
- | |
Membre du Tribunat | |
à partir du | |
Membre du Conseil des Anciens | |
à partir du | |
Député de Seine-et-Marne | |
- | |
Maire de La Ferté-sous-Jouarre | |
à partir de |
Baron |
---|
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Activités |
Distinction | |
---|---|
Archives conservées par |
Archives nationales (F/1bI/162/6) |
Louis-Alexandre Himbert de Flégny (né à La Ferté-sous-Jouarre le , mort à la Ferté le ) est une personnalité politique française.
Il est le fils de Jean-Antoine Himbert de Perolle, conseiller du roi, receveur des octrois de La Ferté, et de Louise-Constance Buisson.
De son mariage avec Marie Françoise Victoire Chardon, il a pour fils Marie Louis François Constant Himbert de Flégny ( à La Ferté-sous-Jouarre - à Paris), baron de Flégny, auditeur au conseil d'État, intendant militaire, sous-préfet, chevalier de la Légion d'honneur, lui même marié avec Clémence Hermance (1805-1879), fille du 2e comte d'Haubersart, pair de France.
Il est officier supérieur des Eaux et Forêts avant la Révolution. Il est élu maire de La Ferté-sous-Jouarre en 1791 puis, dès le , Député de Seine-et-Marne à la Convention nationale, mandat durant lequel il refusera de voter la peine de mort lors du procès de Louis XVI. Sous le régime du Directoire, il entre au Conseil des Anciens.
En 1794, il rédige des Rapport et Projet de Décret sur les Écoles vétérinaires ; imprimé par ordre de la Convention nationale, un rapport très proche de celui de la Commission d’Agriculture.
Partisan de Bonaparte, il fait décréter la démonétisation des assignats à face royale.
Il est nommé Préfet des Vosges le 6 brumaire an XII () jusqu'en janvier 1814. Arrêté en effet en entre Épinal et Igney où se déroulent dans les Vosges. Il est retenu prisonnier de guerre des Cosaques à Ulm.
Membre de l'ordre de la Légion d'honneur.
À propos du procès de Louis XVI, Himbert de Flégny dit : « Je viens comme législateur, et non comme juge, prononcer une mesure de sûreté publique. Je déclare que ce n'est point le refus de l'appel au peuple qui m'y détermine, c'est le sentiment intime que je n'ai pas le pouvoir de juger. Le peuple m'en a convaincu en nommant des hauts jurés pour une haute cour nationale. Il ne m'a pas donné un pouvoir dont il avait investi ces hauts jurés. Vous avez cassé la haute cour nationale. Eh ! Ne craignez-vous pas que l'histoire ne vous accuse d'avoir usurpé un pouvoir qui vous manquait ? Je vote pour la réclusion pendant la guerre et le bannissement après la paix. »