Plongeons dans le monde fascinant de Marie-Suzanne Le Quéau, un sujet qui a retenu l'attention de millions de personnes à travers le monde. Que ce soit en raison de son impact sur la société, de sa pertinence historique ou de son influence dans la sphère culturelle, Marie-Suzanne Le Quéau est devenu un sujet de conversation quotidien. Au fil des années, il a suscité intérêt et débat, provoquant des réflexions et des analyses approfondies sur sa signification et son implication dans nos vies. Dans cet article, nous explorerons les multiples facettes de Marie-Suzanne Le Quéau, en apportant une vision nouvelle et enrichissante qui nous permettra de mieux comprendre son importance et sa pertinence dans le contexte actuel.
Procureur général près la cour d'appel de Paris | |
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Procureure générale Cour d'appel d'Aix-en-Provence | |
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Procureure générale Cour d'appel de Douai | |
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Directrice des affaires criminelles et des grâces | |
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Maryvonne Caillibotte (d) | |
Procureure de la République Tribunal de grande instance d'Evry (d) | |
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Procureure de la République Tribunal de grande instance d'Evreux (d) | |
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Procureure de la République Tribunal de grande instance d'Auxerre (d) | |
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Naissance | |
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Marie-Suzanne Le Quéau, née le à Quimper, est une magistrate française.
Marie-Suzanne Le Quéau est titulaire d'une maîtrise de droit et d'un DEA en droit privé.
Marie-Suzanne Le Quéau commence sa carrière comme auditrice de justice en janvier 1983. Elle est nommée juge d'instruction en 1984 au tribunal de première instance de Limoges. Dans les années 1990, elle est conseillère du ministre de la justice Henri Nallet.
Elle devient procureure de la République à Auxerre fin 2000 et est chargée de l'affaire Emile Louis qui connait de nombreux rebonds,.
Elle dirige en 2012 la direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) et suit la création de la loi du 25 juillet 2013 sur la suppression des instructions individuelles, texte auquel elle révèle être attachée pour son importance déontologique.
Procureure générale près la cour d'appel de Douai de 2014 à 2019, elle prend part à un groupe de travail transfrontalier pour combattre l'immigration illégale.
Elle est ensuite procureure générale à la cour d'appel d'Aix-en-Provence dès janvier 2020, et déclare à sa prise de poste « J’invite mes collègues femmes à laisser leurs doutes de côté, à croire en leurs capacités et à faire preuve d’audace dans leurs demandes de postes. »
En 2020, elle prepare un texte, en tant que présidente de la conférence nationale des procureurs généraux, sur les conflits d’intérêt du ministre de la justice Éric Dupond-Moretti.
En 2022, elle est vice-présidente du conseil d’administration de l’École nationale d’administration pénitentiaire (ENAP) en tant que personnalité extérieure.
Sur proposition du ministre de la justice Éric Dupond-Moretti, elle est nommée procureure générale près la cour d'appel de Paris le 31 juillet par décret paru le , après avis favorable à sa nomination du Conseil supérieur de la magistrature le 18 juillet. Elle est la deuxième femme à exercer ce poste après Catherine Melet-Champrenault.
Elle porte un intérêt particulier aux atteintes environnementales,.