Mortaise

Mortaise est un sujet qui a retenu l'attention de millions de personnes au fil des ans. Son impact sur la société a été significatif et a suscité un débat constant dans différents domaines. Depuis sa création, Mortaise a suscité l'intérêt des chercheurs, des universitaires, des passionnés et du grand public, qui ont cherché à comprendre ses implications et son influence sur divers aspects de la vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons différentes perspectives sur Mortaise et analyserons son évolution au fil du temps, ainsi que sa pertinence dans un contexte contemporain.

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La mortaise (origine probable du latin populaire moritare, de morari, « retenir » ; une autre origine est donnée par Le Robert : le mot serait dérivé de l'arabe مرتز, murtazza, « fixé ») peut désigner :

En anatomie

La mortaise tibio-fibulaire est constituée par l'extrémité inférieure du tibia et de la fibula, réunis par l'articulation tibio-fibulaire distale. L'ensemble forme une surface articulaire constituée en haut et médialement par le tibia et la malléole interne respectivement, et latéralement par la malléole externe. C'est cet ensemble qui est assimilée à une mortaise qui répond à la trochlée du talus, qui est assimilé au tenon.

En menuiserie

  • Mortaise : trou pratiqué dans une pièce de bois ou de métal, pour recevoir le tenon correspondant d'une autre pièce à assembler avec la première. On parle alors d'embrèvement, qui peut être simple : une mortaise, et un tenon, ou multiple sur des pièces de forte épaisseur, n mortaises et n-1 tenons.
  • Dans l'embrèvement appelé trait de Jupiter, on réserve une « lumière » où vient s'insérer une clavette qui bloque l'assemblage.

En équitation

  • Trou fileté ménagé sur la face inférieure du fer à cheval, permettant de visser des crampons utilisés sur terrains glissants, permettant au pied de ne pas glisser.

Dans la marine

  • Vide d'une moufle, où l'on place le réa.
  • Trou pratiqué dans la caisse d'un mât pour le passage de sa clef.

Maroquinerie et sellerie

  • Évidement de forme allongée, laissant le passage et le libre jeu de l'ardillon d'une boucle.

En organologie

  • Dans un registre de clavecin, espace réservé pour permettre aux sautereaux de coulisser.
  • Dans le chevillier du violon et des violes, espace compris entre les deux joues, permettant le passage des tiges des chevilles.
  • Dans la caisse de résonance des cithares, joint des différentes parties de menuiserie.

En serrurerie

  • Ouverture carrée (pêne demi-tour) ou rectangulaire (pêne dormant) pratiquée dans une gâche et dans la têtière de la serrure pour y recevoir le pêne.

Autre

  • Une partie d'une pipe.

Notes et références

  1. Anne Froment, Équitation, plus qu'une passion, Bayard.