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Le niveau de condensation par convection (NCC) est la hauteur dans l’atmosphère où le niveau de condensation est atteint par suite de convection de l'air à partir de la surface terrestre. Il se distingue ainsi du niveau de condensation par ascension où la condensation provient d'un soulèvement mécanique de l'air.
Le NCC sert à déterminer de la hauteur de la base des nuages convectifs qui est importante dans des domaines aussi divers que la planification en aviation générale, la prévision des ascendances thermiques en vol à voile et le calcul du potentiel orageux.
Une parcelle d'air réchauffée au sol devient moins dense que l'air de l'environnement et s'élève par poussée d'Archimède. À mesure qu'elle monte, elle se refroidit adiabatiquement. La vapeur d'eau contenue dans le volume se transforme en gouttelettes quand la parcelle atteint la température de saturation.
Lors d'une journée ensoleillée, ce niveau est celui de la base des nuages convectifs qui se développent. Il peut être calculé en utilisant un diagramme thermodynamique comme le téphigramme ou l'émagramme, là où la ligne du gradient thermique adiabatique sec, venant de la température de surface prévue, rencontre la ligne de rapport de mélange de l'air soulevé.
La figure ci-contre représente un diagramme thermodynamique qui utilise T la température de l'air au sol, le point de rosée. On intersecte la courbe de mélange partant de et la courbe adiabatique sèche partant de T. Le point d'intersection correspond à l'altitude b de la base du nuage convectif lors d'un réchauffement diurne.
Le premier à écrire sur le sujet fut le météorologue américain James Pollard Espy. Le calcul théorique est complexe et est présenté dans l'article Détermination de la base des cumulus. Cependant, une formule approchée est donnée par la FAA. Elle est la suivante :
Par exemple si , alors b= 400 pieds / K × 15 K = 6 000 pieds = 1,8 km.
Le niveau de condensation par convection donne la base des nuages lors du réchauffement diurne. Elle permet donc :