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Pierre Julien, né à Saint-Paulien le et mort à Paris le , est un sculpteur néo-classique français.
Le père de Pierre Julien est maître menuisier. Il a six autres enfants. Les dons de l'enfant sont remarqués par son oncle appartenant à la Compagnie de Jésus. Il le place, en qualité d'apprenti, chez un maître sculpteur-doreur du Puy, Gabriel Samuel. Après son apprentissage son oncle l'envoie à Lyon auprès du sculpteur Antoine-Michel Perrache, professeur à l'École de dessin et de géométrie de la ville. En 1758, après avoir reçu une médaille pour une sculpture, Pierre Julien suit son maître à Paris qui le recommande à Guillaume II Coustou. Il entre dans cet atelier et devient également élève de l'Académie royale. Obtenant un premier prix de sculpture en 1765, il entre ensuite à l'École royale des élèves protégés. Pensionnaire de l'Académie de France à Rome de 1768 à 1773, il y rencontre Van Loo et François Boucher. Rentré en France, il travaille sous la direction de son ancien maître Coustou au mausolée du Grand Dauphin à la cathédrale Saint-Étienne de Sens. Après un premier échec en 1776, il est reçu à l'unanimité à l'académie royale de peinture et de sculpture deux ans plus tard et présente le Gladiateur mourant comme morceau de réception.
Professeur de sculpture à l'école des beaux-arts de Paris, le , et confirmé le , succédant à van Loo, il aura Jean-Antoine Houdon pour lui succéder. Élu membre de l'Institut en 1795, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur.
Il reçoit de Louis XVI une commande pour la série des « Grands hommes de la France », il réalise alors les statues grandeur nature de Jean de La Fontaine et de Nicolas Poussin. Tout en travaillant pour des chantiers parisiens tels que l'église Sainte-Geneviève ou le pavillon de Flore du palais du Louvre, il crée, en 1785, un ensemble de sculptures pour la laiterie de la reine du château de Rambouillet où il laisse libre cours à sa virtuosité.
Une grande part de ses œuvres est conservée au musée du Louvre à Paris et au musée Crozatier du Puy-en-Velay.