Depuis des temps immémoriaux, Portail:Histoire de la zoologie et de la botanique a capté l'attention et l'intérêt des gens du monde entier. Depuis son origine jusqu'à nos jours, Portail:Histoire de la zoologie et de la botanique a été un sujet de discussion, de débat et de réflexion dans d'innombrables contextes. Que ce soit dans le domaine académique, scientifique, culturel ou social, Portail:Histoire de la zoologie et de la botanique a laissé une marque indélébile dans l'histoire de l'humanité. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes, l'impact et la pertinence de Portail:Histoire de la zoologie et de la botanique, ainsi que son influence sur différents aspects de la vie quotidienne. Grâce à une analyse approfondie et méticuleuse, nous chercherons à faire la lumière sur ce sujet fascinant et son importance dans le monde moderne.
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La zoologie est la science qui étudie les animaux. Les spécialistes de cette discipline sont appelés zoologistes, ou zoologues. Regroupant plusieurs disciplines et utilisant de nombreuses techniques, cette science s'est lentement élaborée au cours des siècles depuis la Préhistoire. Historiquement, les premières réflexions scientifiques concernant la zoologie qui nous ont été transmises sont celles d'Aristote. Les grandes tentatives de classification des espèces animales ont été nombreuses et souvent remaniées depuis cette époque.
La botanique est la science qui a pour objet l'étude des végétaux. Elle présente plusieurs facettes qui la rattachent aux autres sciences du vivant. La botanique générale recouvre la taxinomie (description des caractères diagnostiques et différentiels), la systématique (dénombrement et classification des taxons dans un certain ordre), la morphologie végétale (décrivant les organes ou parties des végétaux), l'histologie végétale, la physiologie végétale, la biogéographie végétale et la pathologie végétale. Certaines disciplines, comme la dendrologie, sont spécialisées sur un sous-ensemble des végétaux. La connaissance fine des végétaux trouve des applications dans les domaines de la pharmacologie, de la sélection et de l'amélioration des plantes cultivées, en agriculture, en horticulture, et en sylviculture.
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6 janvier : Joseph Pitty Couthouy (1808-1864), militaire, paléontologue et conchyliologiste américain.
25 janvier : Jean-Paul de Rome d'Ardène (1690-1769), prêtre et botaniste français.
15 février : Anton Menge (1808-1880), naturaliste allemand.
29 février : Hugh Falconer (1808-1865), géologue, paléontologue, paléoanthropologue et botaniste britannique.
3 mars : Johan Christian Fabricius (1745-1808), entomologiste et économiste danois.
7 mars : Alfred William Howitt (1830-1908), anthropologue et naturaliste australien.
9 avril : Philipp Christoph Zeller (1808-1883), entomologiste allemand.
13 avril : Franz von Leydig (1821-1908), zoologiste et spécialiste de l'anatomie comparée allemand.
26 avril : Karl August Möbius (1825-1908), botaniste et écologue allemand.
5 mai : Pierre Jean Georges Cabanis (1757-1808), médecin, physiologiste et philosophe français.
20 mai : Pierre Baux (1708-1790), médecin et naturaliste français.
21 juin : Bernard du Bus de Gisignies, paléontologue, ornithologue et homme politique belge.
1er juillet : Henry Doubleday (1808-1875), entomologiste et ornithologue britannique.
8 juillet : George Robert Gray (1808-1872), conservateur du département ornithologue au British Museum.
22 juillet : Pierre Lyonnet (1708-1789), artiste et naturaliste hollandais.
1er août : Edward Tyson (1650-1708), médecin et anatomiste britannique.
8 août : Alfred Giard (1846-1908), zoologiste et biologiste français.
8 août : André Paillot (1885-1944), entomologiste français.
30 août : Jean-Charles Chenu (1808-1879), médecin militaire et malacologiste français.
31 août : Étienne Pierre Ventenat (1757-1808), botaniste français.
14 septembre : Rodolfo Armando Philippi (1808-1904), naturaliste chilien d'origine allemande.
4 octobre : Martin de Sessé y Lacasta (1751-1808), naturaliste espagnol.
11 octobre : William Saville-Kent (1845-1908), biologiste marin britannique.
16 octobre : Albrecht von Haller (1708-1777), naturaliste allemand.
17 octobre : William Harris Ashmead (1855-1908), entomologiste américain.
18 octobre : Charles Thomas Bingham (1848-1908), entomologiste britannique.
1er novembre : Ludwig Carl Christian Koch (1825-1908), arachnologiste allemand.
21 novembre : Camillo Róndani (1808-1879), entomologiste italien.
23 novembre : Charles Cardale Babington (1808-1895), botaniste britannique.
27 novembre : Albert Gaudry (1827-1908), paléontologue français.
29 novembre : Adolphe Bellevoye (1830-1908), illustrateur et entomologiste français.
12 décembre : Guillaume Philippe Schimper, paléontologue et botaniste français.
28 décembre : Joseph Pitton de Tournefort (1656-1708), botaniste français.
Nous vous proposerons ici des cheminements à travers Wikipédia afin de découvrir les différents aspects de l'évolution de ces sciences.
En 1953, il y a 72 ans, James Watson, Francis Crick, Maurice Wilkins grâce au travail de Rosalind Franklin découvrent la structure en double hélice de l'ADN.
Durant les XVIIIe et XIXe siècles, les voyages d'exploration se multiplient. Cherchant à cartographier, à conquérir, ils ont aussi pour but de dresser l'inventaire du vivant, d'enrichir les muséums, de découvrir des espèces utiles. Vous pouvez découvrir ici une description des principaux voyages (plus d'une cinquantaine).
C'est une façon étonnante de découvrir les naturalistes sur les timbres-poste. Ce cheminement permet de découvrir des personnalités méconnues voire inconnues des francophones. D'ailleurs, certains articles sont à créer. À vous de jouer !

L'impératrice de Russie, Catherine la Grande, voulant hisser son pays au niveau des puissances de l'Europe occidentale, incite de nombreux scientifiques européens, principalement allemands, à venir travailler et s'installer dans son pays. C'est le cas notamment de l'explorateur et naturaliste allemand Peter Simon Pallas (1741-1811). Cette tradition s'est maintenue durant le XIXe siècle et attira de nombreux étrangers. Parmi les rares Français à tenter l'aventure, il faut citer Édouard Ménétries (1802-1861). Il accompagne le comte Georg Heinrich von Langsdorff (1774-1852) qui effectue une mission scientifique au Brésil pour le compte du gouvernement russe. Ménétries, à son retour en Europe en 1826, est nommé conservateur de la zoologie au sein de l'Académie des sciences de Saint-Pétersbourg.
Il organise les collections et ouvre celles-ci au public en 1832. Son salaire est si faible qu'il doit donner des cours du soir pour nourrir sa famille. Les collections sont sans cesse enrichies par les voyageurs en Asie centrale ou orientale. Il se spécialise en entomologie et est l'auteur d'une œuvre importante. Ménétries est l'un des créateurs de la Société entomologique russe et est considéré comme le fondateur de cette discipline en Russie.
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Georg Forster (1754-1794), naturaliste allemand. Il accompagne son père lors du deuxième voyage de Cook autour du monde. Ce grand naturaliste, qui disparaît à quarante ans, est, comme A.M.S. Merian, très méconnu en France.
Jacques Delisse (1773-1856), botaniste et pharmacologue français. Membre de l'expédition Baudin descendu à l'île Maurice, il y ouvre la première pharmacie connue puis y fonde une société d'histoire naturelle ainsi qu'une banque.
Alfred Russel Wallace (1823-1913) était un naturaliste, géographe, explorateur, anthropologue et biologiste britannique. Il est le co-découvreur de la théorie de l'évolution par la sélection naturelle avec Charles Darwin.
La tulipomanie, qui survint dans le nord des Provinces-Unies au milieu du XVIIe siècle, est le nom donné à un effondrement subit des cours de l'oignon de tulipe qui avaient atteint un niveau astronomique.
Charles Darwin (1809-1882) est un naturaliste anglais dont les travaux sur l'évolution des espèces vivantes ont révolutionné la biologie. En ses débuts géologue, il a formulé l'hypothèse selon laquelle toutes les espèces vivantes ont évolué au cours du temps à partir d'un seul ou quelques ancêtres communs grâce au processus connu sous le nom de « sélection naturelle ».
Thekla Resvoll (1871-1948) est une botaniste norvégienne considérée comme pionnière dans la recherche et l'enseignement de l'histoire naturelle. Elle a été la première femme à obtenir un doctorat de botanique en Norvège et la troisième à entrer à l'Académie norvégienne des sciences et des lettres.
Paul Belloni Du Chaillu (1831-1903) est un explorateur et naturaliste franco-américain. Il a effectué d'importantes explorations au Gabon, riches en découvertes notamment zoologiques, botaniques et ethnologiques, à partir des estuaires et des bras de mer de la côte.
Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) est un écrivain, philosophe et musicien francophone.
Anders Sparrman (1748-1820) est un médecin, naturaliste et abolitionniste suédois.
Une xylothèque est le lieu où est conservée et consultée une collection organisée d'échantillons de bois. Par métonymie, la xylothèque désigne aussi la collection elle-même.
Le Tractatus de herbis (Traité des herbes), parfois aussi appelé Secreta Salernitana (Secrets de Salerne), est une tradition textuelle et figurative d'herbiers transmise par plusieurs manuscrits enluminés du Moyen Âge tardif et remontant peut-être à la seconde moitié du XIIIe siècle. Ces traités présentent des simples, c'est-à-dire des substances végétales, minérales ou animales pures, possédant des vertus thérapeutiques. Originaires d'Italie, ils ont été diffusés dans toute l'Europe et ont participé à la transmission et à la popularité de la pharmacopée de l'école de médecine de Salerne.
Nicolas Théobald est un géologue et paléontologue français.
Louis Marc Antoine Robillard d’Argentelle est un capitaine de l'artillerie de marine, puis capitaine au régiment de l'Isle de France, et sculpteur céroplasticien français, connu pour avoir créé une collection de modèles en cire de fruits exotiques de l'île Maurice, le Carporama.
Le terme d'éclipse du darwinisme, popularisé par Julian Huxley, désigne une phase de l'histoire de la biologie pendant laquelle le principe de l'évolution était largement admis, mais pas la sélection naturelle en tant que mécanisme explicatif.

La famille d'Orbigny compte plusieurs naturalistes. Parmi eux Charles Henry Dessalines d'Orbigny (1806-1876), aide préparateur en géologie au Muséum national d'histoire naturelle et auteur d'un important Dictionnaire universel d’histoire naturelle dont la parution s'étale de 1841 à 1849. Un grand nombre de collaborateurs participent à sa réalisation parmi lesquels Geoffroy Saint-Hilaire père (1772-1844) et fils (1805-1861), Victor Audouin (1797-1841), Gabriel Bibron (1805-1848), Bréau, etc. L'ouvrage rencontre un grand succès et sera réédité deux fois.
Une sélection de planches de ce Dictionnaire universel (n'ayant pour sujet que des animaux) vient d'être rééditée. Elle est accompagnée d'un texte signé par Éric Baratay, professeur d'histoire contemporaine à Lyon, auteur de plusieurs ouvrages notamment sur les zoos. Celui-ci replace cette aventure éditoriale dans son contexte, et présente certains des collaborateurs scientifiques comme certains artistes. Les illustrations sont très belles, même si elles n'atteignent la réussite de l'œuvre d'un John Gould (1804-1881) ou, surtout, d'un Edward Lear (1812-1888). On peut regretter l'absence de noms latins en face des illustrations.
La théorie de l'évolution souvent qualifiée un peu hâtivement de darwinisme (lequel n'étant qu'une des principales étapes de sa conception) est la cible actuelle de nombreuses attaques. L'auteur, Thomas Lepeltier, historien des sciences et journaliste à Oxford, revient sur les théories, remontant parfois avant Darwin, qui tentent de réunir foi religieuse et conception scientifique. Il revient ainsi sur divers théoriciens, comme John Ray (1627-1705), affirmant au XVIIe siècle la fixité des espèces, thème repris plus tard par Georges Cuvier (1769-1832), Louis Agassiz (1807-1873) et sa théorie de grandes catastrophes périodiques après lesquelles Dieu recrée le monde... Il retrace également les mouvements créationnistes aux États-Unis qui renaissent à la fin XIXe siècle et aborde l’Intelligent Design. L'actualité de cet ouvrage, utilement complété par un index, risque de ne pas faiblir durant les prochaines années.
Deux ouvrages viennent de paraître sur l'histoire de l'ornithologie. Le premier, signé Scott Weidensaul, aborde l'histoire de l'ornithologie américaine des premiers explorateurs, comme Mark Catesby (1683-1749), aux Christmas Bird Counts (ou comptage d'oiseaux de Noël) qui ont rassemblé pas moins de 57 000 personnes en 2005.
Le second, de Peter Bircham, sur l'histoire de l'ornithologie britannique, aborde une période historique plus longue puisqu'il débute avec Aristote et Pline. L'auteur s'est attaché à retrouver les premières descriptions d'un grand nombre d'espèces d'oiseaux de Grande-Bretagne. On y apprend ainsi que la première description de la linotte à bec jaune date de 1562 et celle du blongios nain de 1666.
Ces deux livres reviennent sur la transformation progressive de l'ornithologie, d'une science tournée vers la description d'espèces et la constitution de collections d'individus morts, à une discipline militante de la protection des habitats et des espèces, l'une des branches les plus populaires de l'histoire naturelle.

L'année 2008 était celle du 300e anniversaire de la naissance de Buffon (1707-1788). Cette commémoration, assez discrète dans les médias, a été l'occasion de la parution de nombreux ouvrages. Tout d'abord, les éditions Gallimard (1.) ont consacré un volume de la fameuse collection de la Pléiade à un choix de textes tirés de l’Histoire naturelle de Buffon. Une réédition complète a été entreprise par Honoré Champion (2.), le tome I comporte notamment un texte important : la description du cabinet de curiosités du Jardin du roi. Il faut signaler également qu'un site du CNRS offre l'intégralité du texte consultable en ligne.
Yves Laissus (6.) nous donne une très illustrée, mais un peu courte, bibliographie sur Buffon. Elle n'occulte pas l'ouvrage de référence de l'historien Jacques Roger (7.) paru originellement en 1989.
Thierry Hoquet, philosophe et historien des sciences, aborde les illustrations de l’Histoire naturelle dans une très intéressante monographie (4.). 2007 était aussi le 300e anniversaire de la naissance d'un autre homme célèbre, Carl von Linné (1707-1778). Thierry Hoquet les réunit (5.) et évoque leurs oppositions et de quelle manière la science en a, en définitive, tiré profit.
Marie-Jean Hérault de Séchelles (1759-1794) rencontre le respecté et déjà âgé Buffon en 1785 dans son fief de Montbard. Il tire de ce voyage un récit (3.) où il dévoile certains traits de caractère, vrais ou supposés, du grand homme.
Laurent Arthur, du muséum de Bourges et spécialiste des chauves-souris, signe là un très important ouvrage de référence. Il retrace la passionnante histoire des premiers photographes animaliers. Il ne s'agit pas que d'une technique nouvelle, même si ces pionniers font preuve d'une immense imagination pour réussir à photographier les animaux. Il s'agit d'un véritable changement de philosophie : le fusil, instrument de base des naturalistes, est volontairement délaissé et est bientôt l'objet de critiques. Il s'agit d'approcher l'animal vivant, libre, dans son milieu naturel.
Ces photographes sont inconnus du grand public, qu'il s'agisse des frères Richard (1862-1928) et Cherry Kearton (1871-1940), de George Edward Lodge (1860-1954) ou de Cordelia Stanwood (1865-1958). Pourtant, leur vie et leur œuvre sont toutes à redécouvrir.
Il est possible de découvrir certains de leurs ouvrages sur le site d'Internet Archive.
Orientation bibliographique :
Nous vous proposons une importante orientation bibliographique sur les histoires de ces disciplines.
Anciennes actualités et archives
Nous vous proposons dans cette section, une sélection des meilleures ressources numériques librement consultables

Il convient de signaler ici une remarquable bibliothèque numérique, tant pour ses choix que pour la haute qualité de la numérisation : Documents numérisés par le Service commun de documentation de l'université Louis Pasteur. Actuellement 271 documents sont proposés aux lecteurs. Dans le domaine de l'histoire naturelle, on trouve notamment les ouvrages majeurs de Conrad Gessner (1516-1565) (ici), d'Ulisse Aldrovandi (1522-1605) (ici), de Leonhart Fuchs (1501-1566) (ici), de Pierre Belon (v. 1517-1564) (ici) et de bien d'autres. La navigation, simple mais efficace, permet de se déplacer par discipline ou par auteur.
Parmi les nouvelles mises en ligne : l’Histoire naturelle éclaircie dans une de ses parties principales, l'ornithologie... de François Salerne (1705-1760), les tomes 1 et 7 du Mineral conchology of Great Britain de James Sowerby (1757-1822) et de James De Carle Sowerby (1787-1871) ainsi que des ouvrages de Jan Jonston (1603-1675), de Jean-Frédéric Hermann (1768-1793) et Antoine Joseph Dezallier d'Argenville (1680-1765)
Pour plus d'informations, cliquez ici.
Gallica (Recherche Gallica) est la bibliothèque numérique de la Bibliothèque nationale de France. Au , Gallica proposait à la consultation en ligne 984 138 documents. Les collections de la Bibliothèque nationale de France s'élèvent à un nombre total de 14 millions de livres et d'imprimés dont le catalogue est accessible en ligne (Catalogue BNF. Le modèle Wikipedia Modèle:BNF permet de génèrer un lien vers la notice d'une publication (papier ou en ligne) via son identification FRBNF.
Le site Internet Archive présente plus de 230 000 documents numériques gratuitement consultables. Parmi eux, un grand nombre d'ouvrages sur l'histoire naturelle comme ceux de l'ichtyologiste et historien des sciences américain David Starr Jordan (1851-1931) (voir ici) ou du biologiste et philosophe britannique Sir Julian Huxley (1887-1975) (voir ici).
Le site de la bibliothèque université de Göttingen offre une sélection de 800 ouvrages numériques également librement consultables dont des nombreux livres de Peter Simon Pallas (1741-1811), de Jules René Bourguignat (1829-1892), de Carl Alexander Clerck (v. 1710-1765), etc.