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Relations entre la Colombie et la France | |
Colombie France | |
Ambassades | |
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Ambassade de Colombie en France | |
Ambassadeur | Gustavo Adolfo Carvajal Sinisterra |
Adresse | 22 rue de l'Élysée - Paris |
Site web | http://francia.embajada.gov.co |
Ambassade de France en Colombie | |
Ambassadeur | Pierre-Jean Vandoorne |
Adresse | Carrera 11, n° 93-12 - Bogota |
Site web | http://www.ambafrance-co.org |
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Les relations entre la Colombie et la France sont des relations internationales s'exerçant entre un État d'Amérique du Sud, la République de Colombie, et un autre principalement européen, la République française. Elles sont structurées par deux ambassades, l'ambassade de Colombie en France et l'ambassade de France en Colombie.
Les relations diplomatiques entre la France et la Colombie ont commencé officiellement le avec la signature d’une convention « relative à l’établissement des nationaux, au commerce et à la navigation » entre les deux nations.
Par l’arrêté du la place de la Porte-de-la-Muette, dans le 16e arrondissement de Paris a reçu le nom de place de Colombie.
Durant son mandat, le président français Jacques Chirac exerça une pression politique sur l'administration d'Álvaro Uribe pour le pousser à accepter les exigences des FARC et de finaliser un échange humanitaire. Uribe conditionna l'offre et suggéra que les guérilleros emprisonnés soient libérés en France plutôt qu'en Colombie. L'offre d'échange fut ensuite déclinée par les FARC.
En juillet 2003, sans en informer le gouvernement colombien, la France tenta de libérer Íngrid Betancourt au cours de l'opération 14 juillet . Cependant, cette opération se révéla être un échec et entraîna une protestation officielle de la part des autorités colombiennes.
Nicolas Sarkozy, lors de sa candidature, réaffirma ses intentions de pousser à la libération d'Íngrid Betancourt et des autres otages détenus par les FARC, libération qui eut finalement lieu le à la suite de l'opération Jaque.