Dans cet article, nous plongerons dans le monde fascinant de Relations entre le Burundi et la France, en explorant ses différents aspects, origines et implications possibles dans la société actuelle. Relations entre le Burundi et la France a fait l'objet d'intérêt et de débats au fil des années, suscitant la curiosité et l'attention des experts et des amateurs. Au fil de ces pages, nous examinerons son évolution au fil du temps, ses diverses manifestations dans différentes cultures et son impact sur le plan personnel et collectif. Préparez-vous à vous lancer dans un voyage de découverte et de réflexion autour de Relations entre le Burundi et la France, dans l'espoir d'élargir votre compréhension et vos connaissances sur ce sujet passionnant.
Relations entre le Burundi et la France | |
Ambassades | |
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Ambassade du Burundi en France | |
Ambassadeur | Dieudonné Ndabarushimana |
Adresse | 10 – 12 rue de l'Orme 75019 Paris |
Site web | www.ambassade-du-burundi.fr/ |
Ambassade de France au Burundi | |
Ambassadeur | Jean Lamy |
Adresse | 60 boulevard de l'Uprona Bujumbura |
Site web | www.ambafrance-bi.org |
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Les relations entre le Burundi et la France sont des relations internationales s'exerçant entre la République française et la république du Burundi.
Le Burundi, pays d'Afrique, est issu de l'empire colonial belge. Le français est une des langues officielles et le pays est membre de la Organisation internationale de la francophonie.
Les deux pays entretiennent des relations diplomatiques depuis l'indépendance du Burundi, avec une période de suspension entre 1996 et 1998 pendant la guerre civile burundaise.
L'ambassade de France au Burundi est ouverte en et le premier accord est signé l'année suivante portant sur la coopération culturelle et technique entre les gouvernements.
Les deux pays s'opposent dans une affaire judiciaire autour du correspondant de Radio France internationale, Hassan Ruvakuki, condamné en première instance en 2011 à la prison à perpétuité pour actes de terrorisme. Cette affaire provoque la mobilisation des journalistes et des autorités françaises sur fond de défense de liberté de la presse. Sa peine est réduite en appel en à trois ans de prison puis il est libéré pour raison de santé en 2013.