Traité de Florence (1913)

Dans cet article, nous explorerons le sujet de Traité de Florence (1913) sous différentes perspectives et approches. Traité de Florence (1913) est un sujet d'intérêt depuis des décennies et sa pertinence reste élevée aujourd'hui. Au cours de cette tournée, nous examinerons ses origines, son impact sur la société et son évolution dans le temps. De même, nous analyserons les différentes opinions et positions qui existent autour de Traité de Florence (1913), ainsi que les défis et opportunités qu'elle présente. Cet article vise à fournir une vue complète et enrichissante sur Traité de Florence (1913), afin de fournir au lecteur une compréhension plus profonde et plus complète de ce sujet fascinant et influent.

Le traité de Florence, aussi connu comme protocole de Florence, signé le à l'issue de la deuxième guerre balkanique, constitue un codicille au traité de Londres de la même année.

En Macédoine, le royaume de Bulgarie doit se contenter de la Macédoine du Pirin soit 25 % de ce qu'il revendiquait dans cette région, tandis que la Serbie recevait l'actuelle Macédoine du Nord et la Grèce la Macédoine du Sud.

Du côté de la mer Adriatique, la diplomatie austro-hongroise vise à empêcher le Monténégro de s'agrandir et la Serbie d'obtenir un accès à la mer : elle s'active pour garantir l'indépendance de la principauté d'Albanie. À la conférence à Londres, un comité international avait été nommé pour fixer les frontières entre la Grèce et le nouvel état Albanais.

Ce comité, réuni à Florence, partagea l'Épire : l'Épire du Nord fut attribuée à l'Albanie. La Grèce, qui occupait toute la région depuis la première guerre balkanique, protesta mais finit par accepter de retirer ses troupes à partir de . Toutefois, un gouvernement provisoire autonomiste grec, dirigé par Georgios Christakis-Zographos fut créé en Épire du Nord. En l'Albanie commença à prendre le contrôle de cette région.

Sources

  1. Batakovic 2005, p. 31.

Article connexe