Dans le monde d'aujourd'hui, Transfert de fertilité a acquis une pertinence sans précédent. Que ce soit dans le domaine de la politique, de la science, de la culture ou de la technologie, Transfert de fertilité est devenu un sujet d'intérêt et de débat constant. En savoir plus sur Transfert de fertilité et ses implications est crucial pour comprendre le paysage actuel et les tendances qui fixent le cap pour l'avenir. Dans cet article nous explorerons les différentes facettes de Transfert de fertilité, de son origine à son impact sur la société actuelle, pour offrir une vision complète et actualisée de ce phénomène.
Un transfert de fertilité, en agriculture, désigne le déplacement d'éléments nécessaires à la croissance des végétaux, principalement l'azote.
Les plantes nécessitent, pour leur croissance, des éléments minéraux, de l'eau, de la lumière et du dioxyde de carbone. Parmi les éléments minéraux, l'azote, le phosphore et le potassium sont les plus importants :
Ces éléments doivent être fournis par le milieu dans lequel pousse la plante
Tout comme l'approvisionnement en eau, l'approvisionnement de la plante en éléments minéraux est d'une importance capitale pour sa croissance, et donc pour l'agriculture.
La mise en place d'un système agraire vise à équilibrer les apports en minéraux et la consommation des plantes.
Les plantes cultivées, en dehors des légumineuses, consomment de l'azote et nécessitent des apports réguliers. L'azote est apporté, selon les systèmes agraires, de différentes manières :
La fumure a longtemps été le mode principal de transfert de fertilité. Cela explique l'importance des zones non cultivées pour l'équilibre des terroirs : la fertilité provient de ces zones apparemment moins productives (forêts, landes, parcours). Un déséquilibre, dû souvent à l'extension des zones cultivées sous la pression de l'augmentation de la population, entraîne une baisse de la fertilité et, au terme d'un cercle vicieux, une crise agraire.
L'apport des engrais chimiques a permis de se dégager de ces contraintes. Cependant, cette liberté dans l'assolement a entraîné une déconnexion importante entre ce que le sol peut supporter et les pratiques des agriculteurs.