Dans le monde d'aujourd'hui, Vincent Van Quickenborne est devenu un sujet de grande pertinence et de débat. Depuis ses origines jusqu'à nos jours, Vincent Van Quickenborne a suscité l'intérêt et la curiosité de personnes de tous âges et de tous horizons. Son impact sur la vie quotidienne des gens a généré différentes opinions et positions sur la question. Dans cet article, nous chercherons à explorer les différentes perspectives sur Vincent Van Quickenborne, ainsi qu'à analyser son influence dans différents domaines de la société. De plus, nous examinerons comment Vincent Van Quickenborne a évolué au fil du temps et ce que nous pouvons attendre de son avenir.
Vincent Van Quickenborne | |
Fonctions | |
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Vice-Premier ministre de Belgique Ministre fédéral de la Justice chargé de la mer du Nord | |
– (3 ans et 19 jours) |
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Monarque | Philippe |
Premier ministre | Alexander De Croo |
Gouvernement | De Croo |
Prédécesseur | Koen Geens |
Successeur | Paul Van Tigchelt |
Vice-Premier ministre de Belgique Ministre fédéral des Pensions | |
– (10 mois et 16 jours) |
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Monarque | Albert II |
Premier ministre | Elio Di Rupo |
Gouvernement | Di Rupo |
Prédécesseur | Michel Daerden |
Successeur | Alexander De Croo |
Bourgmestre de Courtrai | |
En fonction depuis le (11 ans, 2 mois et 19 jours) |
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Élection | 14 octobre 2012 |
Réélection | 14 octobre 2018 |
Coalition | Open Vld-sp.a-NV-A |
Prédécesseur | Stefaan De Clerck |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Gand (Belgique) |
Nationalité | Belge |
Parti politique | Open Vld |
Vice-Premiers ministres belges | |
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Vincent Paul Marie Van Quickenborne, né le à Gand, est un homme politique belge flamand, membre de l'Open Vld. Il a été ministre des Pensions et Vice-Premier ministre du Gouvernement Di Rupo. Il est actuellement bourgmestre de Courtrai et a été ministre de la Justice et de la Mer du Nord dans le cabinet mené par Alexander De Croo.
En 1991, il termine ses études secondaires au collège Sainte-Barbe de Gand. Vincent Van Quickenborne témoigne, en 2023, des abus sexuels de la part d'un prêtre à l'encontre des élèves qu'il a constaté dans l’école dans les années 1980. En 1996, il est licencié en droit de la Katholieke Universiteit Leuven (KU Leuven). Il exerce ensuite le métier d’avocat au barreau de Courtrai.
Il est notamment connu pour avoir fait passer en force son adaptation du régime des pensions, fin 2011[réf. nécessaire].
Aux élections communales de 2012, il parvient à mettre fin au règne du CD&V sur Courtrai en étant élu bourgmestre, en 2013. Il est remplacé au gouvernement fédéral par Alexander De Croo. Il est réélu bourgmestre de Courtrai en octobre 2018. Le , il est nommé vice-Premier ministre et ministre fédéral de la Justice dans le gouvernement De Croo. En conséquence, il laisse sa fonction de bourgmestre à Ruth Vandenberghe qui devient bourgmestre faisant fonction.
En 2022, profitant du covid pour éviter des débats, il fait passer son Code Pénal Sexuel. Cette loi légalise les sites de petites annonces de prostitution. Ces sites sont désormais autorisés pourvu qu'ils prennent des mesures pour lutter contre les abus de prostitution (article 77 de la loi du 22 mars 2022).
En février 2022, il entame la procédure de retrait de reconnaissance officielle de l'Exécutif des musulmans de Belgique critiqué depuis octobre 2020 dans un rapport de la Sûreté de l’État qui avait dénoncé des ingérences étrangères au sein de cette institution. De surcroît, sa gestion était mise en cause pour son manque de transparence et sa confiscation par une poignée de membres. En mai 2023, le bureau de l’Exécutif des musulmans de Belgique annonce saisir la justice afin de faire cesser ce qu’il considère comme des « ingérences arbitraires » du ministre de la Justice dans l’organisation du culte musulman.
En septembre 2022, il est, selon la presse, sujet d'une tentative d’enlèvement sur fond de recrudescence de la violence liée au trafic de drogue les mois précédents. Quatre suspects ont été arrêtés.
En novembre 2022, l’agression mortelle contre un policier commise par un islamiste radical à Bruxelles, devient une affaire d’Etat plaçant Vincent Van Quickenborne et Annelies Verlinden, responsable de l’intérieur, « sur la défensive ». Il déclare aux syndicats de policiers « voir ce que l’on peut mieux faire » afin d’assurer leur protection et demande au procureur général de Bruxelles, Johan Delmulle, un rapport sur les événements qui ont entouré le meurtre du policier à Schaerbeek. La démission du ministre est réclamée par les deux principaux syndicats policiers.
En décembre 2022, il participe à une émission de télé-réalité pour laquelle il passe deux jours dans la nouvelle prison de Haeren, fraîchement inaugurée.
En avril 2023, Vincent Van Quickenborne propose une restriction du droit de manifester.
En septembre 2023, Vincent Van Quickenborne est éclaboussé par le « pipigate ». Il est accusé, par plusieurs partis politiques et des syndicats policiers, d'avoir menti à la suite d'une soirée trop arrosée qu'il a organisée, ce qui crée une polémique,.
Le , il démissionne du poste de ministre de la Justice, reconnaissant une « faute individuelle » au sujet de la fusillade du 16 octobre 2023 à Bruxelles. En effet, l'auteur de la fusillade — un clandestin tunisien multirécidiviste — avait fait l'objet en d'une demande d'extradition vers la Tunisie que ses équipes n'ont pas jugé utile de traiter,. Le 23 octobre 2023, il redevient bourgmestre de Courtrai.
En décembre 2023, Vincent Van Quickenborne fait face à de nouvelles révélations. Il a enfreint les règles sanitaires visant à lutter contre la propagation du coronavirus (Covid-19) au cours d'une fête privée, en août 2021. L'ancien ministre parle d'une « erreur de jugement » et a présenté ses excuses,.