Dans cet article, nous allons analyser et approfondir le sujet de Ambroise de Lombez. Au fil des années, Ambroise de Lombez a fait l’objet d’études et d’intérêt pour de nombreuses personnes dans divers domaines. De la psychologie à l'astronomie, en passant par l'histoire, la littérature et la sociologie, Ambroise de Lombez est un sujet récurrent et d'actualité. Dans cet article, nous visons à explorer différents aspects de Ambroise de Lombez, de ses origines à son influence sur la société actuelle. Nous analyserons son impact sur la culture, la science, l'art et la vie quotidienne, en cherchant à comprendre profondément et complètement son importance dans le monde d'aujourd'hui.
| Naissance | |
|---|---|
| Décès |
(à 70 ans) |
| Nom de naissance |
Jean Lapeyrie |
| Activités |
| Ordre religieux |
|---|

Jean de La Peyrie, plus connu sous le nom d'Ambroise de Lombez, est un religieux catholique français du XVIIIe siècle, capucin, ermite, confesseur, en particulier de la Reine Marie Leczinska, et écrivain ascétique.
Il est né à Lombez, ancienne ville épiscopale du Languedoc, le d’une noble famille d’Armagnac, qui comptait plusieurs membres illustres, de robe et d’épée. Il fit ses études classiques chez les Doctrinaires de Gimont et de théologie à l’école Saint Thomas d’Aquin à Auch.
À l’âge de 16 ans, le , il entre chez les Capucins et prend le nom de Frère Ambroise. Il est tout d'abord directeur de l’étude de théologie au couvent de Saint-Sever, puis après une cure de repos à Bagnères-de-Bigorre, il entre au couvent de Médoux non loin de là et durant quinze ans il dessert le sanctuaire de Notre-Dame de Médoux. Maître des novices et gardien du couvent d’Auch, il est appelé à Paris pour remettre de l'ordre dans les couvents et devient aumônier des Capucines du Couvent Royal de la Place Vendôme.
Il devient alors le confesseur de la Reine Marie Leczinska ce qui lui vaut rapidement un rappel en Province comme Définiteur Provincial et gardien du couvent d’Agen. Délégué de la Province au Chapitre National, il s'opposa aux nouvelles réformes de l'Ordre.
Ses trois livres les plus célèbres furent le Traité sur la Paix intérieure, paru en 1756 et très souvent réédité, le recueil de Lettres spirituelles sur la Paix intérieure, publié en 1766 et le Traité de la Joie de l'âme chrétienne. Son secrétaire fut un temps le père Philippe de Madiran (Jean Doussau).
Il meurt le , à l’âge de 70 ans, au cours d’une cure thermale à Luz-Saint-Sauveur, dans un ermitage dont il aurait été le dernier occupant[1], à l'emplacement actuel de la chapelle Solférino. Ses ossements furent transférés sur le plateau de Solférino par Napoléon III et comme épitaphe on peut lire : « Sous cette pierre reposent les restes du Vénérable Ambroise de Lombez, capucin de Saint-Sauveur, primitivement inhumés à l'entrée de la chapelle de la Vierge de Luz »[2]