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Naissance | |
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Nom de naissance |
Juan Carlos Onetti Borges |
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Site web |
(es + de) onetti.net |
Distinction |
Juan Carlos Onetti, né le à Montevideo et mort le à Madrid, est un écrivain uruguayen, célèbre, entre autres, pour ses romans Une nuit de chien (1943), La Vie brève (1950), Les Bas-Fonds du rêve (1959), Le Chantier (1961) et Ramasse-Vioques (1964). Il s'exile en Espagne après avoir été incarcéré, pour sa participation à un jury, par la dictature uruguayenne.
Juan Carlos Onetti est le fils de Carlos Onetti et Honoria Borges, né entre un frère aîné Raúl et une sœur cadette Raquel. Il s'établit en 1930 avec son épouse d'alors, María Amalia Onetti, à Buenos Aires où ils survivent de petits travaux sur l'eau et où naît leur fils Jorge, en 1931. En 1934 il retourne à Montevideo. À partir de 1939, Onetti vit de journalisme, puis de littérature. Jusqu'en 1941, il est secrétaire de rédaction à la revue hebdomadaire Marcha, dans laquelle il impose une nouvelle orientation de la littérature sud-américaine. Son premier ouvrage, Le Puits (El pozo, 1939), contenant de sérieuses attaques contre William Faulkner et l'existentialisme, est considéré comme le premier roman moderne d'Amérique du Sud.
De 1941 à 1955, il vit de nouveau à Buenos Aires. En 1950 paraît La Vie brève (La vida breve), première partie du cycle Santa Maria (sur la ville fictive de Santa María). En 1951, sa troisième épouse lui donne une fille, Isabel María. En 1962, il remporte le Premio Nacional de Literatura d'Uruguay. Le , il reçoit le Prix Cervantes, la plus haute reconnaissance littéraire du monde hispanophone. Puis, en 1985, le Gran Premio Nacional de Literatura d'Uruguay, et le le Premio de la Unión Latina de Literatura.
Onetti dirige, à partir de 1957, la bibliothèque municipale de Montevideo. Il est surveillé par la police uruguayenne à partir de 1964. En 1974, pendant la dictature militaire de Bordaberry, il est condamné à la prison (Colonia Etchepare), pour avoir participé à un jury organisé par l'hebdomadaire Marcha ayant décoré une nouvelle, El guardaespaldas (Le garde du corps) de Nelson Marras, critique envers la junte (il n'était d'ailleurs pas d'accord avec ce prix). Après sa libération, six mois plus tard, en 1975, il s'exile à Madrid, où il gagne sa vie comme serveur, portier, et vendeur.