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Liste des pays reconnaissant l'État de Palestine

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Palestine Pays ayant reconnu l'État de Palestine Pays n'ayant pas reconnu l'État de Palestine
  • Palestine
  • Pays ayant reconnu l'État de Palestine
  • Pays n'ayant pas reconnu l'État de Palestine
 
Décennie de reconnaissance : Années 1980 Années 1990 Années 2000 Années 2010 Années 2020
Décennie de reconnaissance :
  • Années 1980
  • Années 1990
  • Années 2000
  • Années 2010
  • Années 2020

Cet article dresse la liste des pays qui reconnaissent la Palestine comme un État souverain. 158 des 193 États membres de l'ONU ont reconnu la Palestine fin , auxquels s'ajoutent le Saint-Siège (État observateur non membre de l'ONU).

La position en de l'Éthiopie, de la République centrafricaine et du Togo n'est pas claire, et la Tchéquie, la Hongrie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée ont répudié leur reconnaissance antérieure de la Palestine.

Histoire

Les votes à l'UNESCO en concernant l'adhésion de la Palestine :
  • Pour
  • Contre
  • Abstentions
  • Absent
  • Non-membre de l'organisation
Les votes aux Nations Unies en 2012 sur l'attribution du statut d'État observateur (résolution 67/19 de l'Assemblée générale des Nations unies)
Les votes aux Nations Unies en sur l'attribution du statut d'État observateur (résolution 67/19 de l'Assemblée générale des Nations unies)
 
Les votes concernant la résolution ES-10/23 de l'Assemblée générale des Nations unies du 10 mai 2024 Pour Contre Abstentions Absent
Les votes concernant la résolution ES-10/23 de l'Assemblée générale des Nations unies du
  • Pour
  • Contre
  • Abstentions
  • Absent
Situation en des relations diplomatiques établies avec la Palestine :
  • relations diplomatiques
  • reconnaissance diplomatique
  • autre relation officielle
  • Israël et Palestine
  • Reconnaissance de l'État d'Israël et non de l'État de Palestine
  • Reconnaissance égale
  • Reconnaissance de l'État de Palestine et non de l'État d'Israël

Le à Alger, le Conseil national palestinien déclare unilatéralement l'indépendance de la Palestine[1]. L'Algérie est le premier pays à reconnaître l'État de Palestine. Dans les jours qui suivent, 75 États reconnaissent son indépendance.

La Palestine accède à l'Unesco en grâce à une demande de l'Algérie. Elle est admise le comme État observateur de l'ONU à la suite d'un vote ayant récolté 138 voix pour, 9 contre et 41 abstentions. Elle devient en État partie au Statut de Rome de la Cour pénale internationale.

Le , l'adhésion pleine et entière de la Palestine à l'ONU est rejetée par le Conseil de sécurité en raison du veto américain, seul opposant à cette adhésion, malgré 12 voix pour et deux abstentions[2]. Les États-Unis ont déclaré que « le vote qui leur est reproché n'est pas une opposition au statut d'État Membre de la Palestine, mais une manière de reconnaître qu'il ne peut émaner que de négociations entre les deux parties (Israël et Autorité palestinienne) »[3]. Le , l'Assemblée générale des Nations unies a adopté à une très large majorité (143 voix pour, 9 voix contre et 25 abstentions) la résolution ES-10/23 en faveur de l'admission de l'État de Palestine en tant que membre de plein droit de l'ONU, recommandant ainsi au Conseil de sécurité de « réexaminer favorablement » cette question. Par ailleurs, le statut d'État observateur de l'État de Palestine est rehaussé, l'Assemblée générale ayant décidé, « à titre exceptionnel et sans que cela constitue un précédent » (précision ajoutée notamment pour satisfaire des pays qui ne reconnaissent pas le Kosovo), d’adopter plusieurs modalités pour la participation de l'État de Palestine à ses sessions et travaux à compter de sa soixante-dix-neuvième session[4].

Pays reconnaissant l'État de Palestine

Au , 158 des 193 États membres de l'ONU reconnaissaient l'État de Palestine, soit environ 80 %[5].

Parmi ces pays, on trouve presque tous les États d'Afrique, d'Asie, d'Amérique du Sud et centrale, de l'ancienne URSS et d'Europe de l'Est, ainsi qu'une partie des pays d'Amérique du Nord, d'Europe de l'Ouest et d'Océanie. En revanche, une fraction importante des pays occidentaux et des alliés de ceux-ci, notamment les États-Unis, un nombre important de pays d'Europe de l'Ouest, la Corée du Sud, le Japon et la Nouvelle-Zélande, ne reconnaissent pas l'État palestinien même s'ils entretiennent des relations officielles avec l'Autorité palestinienne.

À la suite de la déclaration d'indépendance de la Palestine le , une cinquantaine de pays ont reconnu cette indépendance le jour même ou dans la semaine qui a suivi. Les pays ayant constitué cette vague initiale (-) sont les pays de la Ligue arabe, les pays africains et asiatiques ainsi que les pays de l'ancien bloc de l'Est. Ces reconnaissances témoignent alors d'une solidarité des « non-Occidentaux »[6].

Entre et , l'émancipation des pays d'Amérique latine de la politique américaine entraîne une autre vague de reconnaissance[6]. Seize des dix-neuf pays d'Amérique latine reconnaissent ainsi la Palestine[6]. Selon la politologue brésilienne Cécilia Baeza, cela permet à ces États de montrer leur autonomie en matière de politique étrangère et d'exister sur la scène internationale[6].

Entre et ont lieu les premières reconnaissances de pays d'Europe occidentale : le Vatican (qui avait reconnu Israël en )[6], l'Islande, et la Suède[6], qui devient le premier pays alors membre de l'Union européenne à reconnaître l'État palestinien (Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Hongrie, Roumanie, Bulgarie et Chypre n'étaient pas encore membres de l'UE lors de leur reconnaissance de l'État palestinien[7]). En , les parlements européen, britannique et français ont voté leur soutien à la reconnaissance de l'État palestinien[6], sans que cela soit suivi par leurs gouvernements[8].

En , dans le contexte de la guerre menée par Israël à Gaza, la Barbade[9], la Jamaïque[10], Trinité-et-Tobago[11] et les Bahamas[12] annoncent reconnaître la Palestine, puis ensemble la Norvège, l'Irlande et l'Espagne[13],[14]. Ils sont suivis peu après par la Slovénie[15] et l'Arménie[16].

Le Mexique reconnaît à son tour la Palestine le [17].

En , le président Emmanuel Macron annonce que la France pourrait reconnaître l'État de Palestine en [18],[19]. Toutefois, la conférence de l'ONU sur la solution à deux États, prévue à partir du et coprésidée par la France et l'Arabie saoudite, qui devait aboutir à la reconnaissance de la Palestine est reportée sine die en raison de l'attaque israélienne sur l'Iran[20]. Le , l'Assemblée de Corse adopte une motion reconnaissant l'existence de l'État de Palestine, en l'absence de position officielle française. Cette reconnaissance est cependant purement symbolique et ne revêt pas de valeur juridique[21],[22]. Le , le président français, Emmanuel Macron annonce la prochaine reconnaissance de la Palestine par la France, dont l'annonce officielle est faite au cours de l'assemblée générale des Nations unies en à New York[23],[24].

À la suite de cette déclaration du président français, des députés canadiens réclament aussi la reconnaissance de la Palestine en tant qu'État par le Canada[25], de même que des députés britanniques et le Parti national écossais en ce qui concerne le Royaume-Uni[26]. Le , le Premier ministre britannique déclare que le Royaume-Uni pourrait reconnaître la Palestine, comme État, d'ici , sauf si un cessez-le-feu est accepté avant par Israël[27], si celui-ci prend des mesures pour mettre fin à la « situation épouvantable à Gaza », s'il accepte la solution à deux États et s'il assure que la Cisjordanie ne sera pas annexé. Le Royaume-Uni affirme également que la solution à deux États est « en péril »[28].

Le , les « ministres des Affaires étrangères de l'Andorre, de l'Australie, du Canada, de l'Espagne, de la Finlande, de la France, de l'Irlande, de l'Islande, du Luxembourg, de Malte, de la Norvège, de la Nouvelle-Zélande, du Portugal, de Saint-Marin et de la Slovénie » annoncent «  d'ores et déjà reconnu l'État de Palestine, avo exprimé ou exprim la volonté de le faire, ou l'envisag, ce qui est une étape cruciale vers la solution des deux États, et invit l'ensemble des pays qui ne l'ont pas encore fait à se joindre au présent appel »[29]. Neuf de ces pays n'avait jusqu'alors pas encore reconnu l'État de Palestine ni exprimé leur intention de le faire : l'Andorre, l'Australie, le Canada, la Finlande, le Luxembourg, Malte, la Nouvelle-Zélande, le Portugal et Saint-Marin[30]. Le même jour, les coprésidents de la « Conférence internationale de haut niveau des Nations Unies sur le règlement pacifique de la question de Palestine et la mise en œuvre de la solution des deux États » (prévue en ), à savoir la France et l'Arabie saoudite, ainsi que les coprésidents des groupes de travail, à savoir le Brésil, le Canada, l'Égypte, l'Espagne, l'Indonésie, l'Irlande, l'Italie, le Japon, la Jordanie, le Mexique, la Norvège, le Qatar, le Royaume-Uni, le Sénégal, la Turquie, la Ligue des États arabes et l'Union européenne, « réaffirm que la reconnaissance et la création de l’État de Palestine sont une composante essentielle et indispensable de la réalisation de la solution des deux États, tout en rappelant que la reconnaissance est une décision souveraine revenant à chaque État »[31]. De ce fait, cette déclaration ne vaut pas engagement de reconnaissance pour les pays (Canada, Italie et Japon) qui n'ont pas déjà reconnu ou annoncé leur intention de reconnaître la Palestine. Il faut aussi noter que, à l'inverse, trois des pays ayant fait cette déclaration reconnaissent la Palestine mais pas Israël et n'ont pas énoncé l'intention de le reconnaître : l'Arabie saoudite, l'Indonésie et le Qatar.

Le , le Premier ministre canadien, Mark Carney, annonce avoir l'intention de reconnaître l'État de Palestine lors de l'Assemblée générale des Nations unies en septembre[32]. Le lendemain, c'est au tour du cabinet du Premier ministre portugais, Luís Montenegro, d'annoncer par un communiqué des consultations avec le Président et le Parlement en vue d'une reconnaissance lors de l'Assemblée générale des Nations unies[33]. Le , le Premier ministre australien, Anthony Albanese, annonce que son pays reconnaîtra également l'État de Palestine à l'occasion de l'Assemblée de l'ONU[34]. Le , le ministre des Affaires étrangères belge, Maxime Prévot, annonce que son pays reconnaîtra l'État de Palestine lors de la session de l'ONU[35]. Il précise cependant qu'elle ne sera effective que lorsque « le dernier otage israélien retenu par le Hamas aura été libéré et que le Hamas n'assumera plus quelconque gestion de la Palestine »[35]. Le , l'Élysée annonce que 10 pays, dont la France elle-même, reconnaîtront la Palestine le . Les neuf autres pays concernés sont l'Andorre, l'Australie, la Belgique, le Canada, le Luxembourg, Malte, le Portugal, le Royaume-Uni et Saint-Marin[36]. Le , l'Australie, le Canada, le Portugal et le Royaume-Uni reconnaissent officiellement l'État de Palestine[37]. Le Canada et le Royaume-Uni deviennent ainsi les premiers pays du G7 à le faire[38]. Le lendemain, sept autres pays (Andorre, la Belgique, la France, le Luxembourg, Malte, Monaco et Saint-Marin) reconnaissent l'État de Palestine[39]. La reconnaissance par la Belgique doit cependant encore être formalisée par un décret royal[39]

Liste des pays ayant reconnu l'État de Palestine

Pays ne reconnaissant pas l'État de Palestine

Notes et références

Notes

  1. a b et c État non membre de l'ONU.
  2. Dans une lettre conjointe adressée au Secrétaire général de l'ONU, les ministres des Affaires étrangères ont déclaré que « tous les traités et accords conclus entre la République arabe du Yémen ou la République démocratique populaire du Yémen et d'autres États ou des organisations internationales conformément aux principes du droit international et qui sont en vigueur le resteront en vigueur, et les relations internationales existant le entre la République démocratique populaire du Yémen et la République arabe du Yémen et d'autres États se poursuivront[42],[43]. »
  3. État observateur non membre de l'ONU.

Références

  1. Véronique Laroche-Signorile, « État palestinien : Yasser Arafat proclamait sa création il y a 30 ans » Accès libre, Le Figaro, (consulté le ).
  2. « Guerre à Gaza : l'adhésion pleine et entière des Palestiniens à l'ONU rejetée en raison du veto américain », Les Échos, (consulté le ).
  3. « L'Assemblée générale débat du veto des États-Unis rejetant l'admission de l'État de Palestine à l'ONU », AG/12595, sur press.un.org, (consulté le ).
  4. « L'Assemblée générale vote à une écrasante majorité pour l'admission de l'État de Palestine à l'ONU et rehausse son statut d'Observateur permanent », AG/12599, sur press.un.org, (consulté le ).
  5. (en) AFP, « 142, 148, 149? How AFP Counted The Countries That Recognise The State Of Palestine », Barron's, .
  6. a b c d e f et g Camille Renard, « Palestine : la carte de la reconnaissance », sur radiofrance.fr, France Culture, (consulté le ).
  7. Romain Geoffroy, « Quels sont les pays qui reconnaissent un État palestinien ? », Le Monde, (consulté le ).
  8. Félicien Rondel, « Israël-Palestine : quels pays reconnaissent l'État palestinien ? », La Croix, (consulté le ).
  9. a et b Caroline Popovic, « La République de Barbade devient le 140e pays à reconnaître l’État de Palestine », sur franceinfo.fr, Martinique La Première, (consulté le ).
  10. a et b (en) « Jamaica to recognise the State of Palestine », The Gleaner (en), (consulté le ).
  11. a et b (en-US) Rishard Khan, « Trinidad and Tobago recognises Palestine », sur Trinidad and Tobago Newsday (en), (consulté le ).
  12. a et b (en) « The Commonwealth of The Bahamas Formally Recognizes Palestine As A State », sur mofa.gov.bs, Ministère des Affaires étrangères bahaméen (en), (consulté le ).
  13. a et b Sandrine Morel, Philippe Ricard et Philippe Jacqué, « L'Espagne, l'Irlande et la Norvège décident de reconnaître ensemble la Palestine comme un État » Accès libre, Le Monde, (consulté le ).
  14. a et b « Reconnaissance d'un État palestinien : ce n'est "pas une récompense, c'est un droit", selon le président de l'iReMMO, Jean-Paul Chagnollaud », sur franceinfo.fr, .
  15. a et b AFP, « Après l'Espagne, l'Irlande et la Norvège, la Slovénie reconnaît à son tour l'État de Palestine », Libération, .
  16. a et b « L'Arménie annonce reconnaître l'État de Palestine », sur rfi.fr, Radio France internationale, (consulté le )
  17. a et b (es) Araceli Ledesma, « Sheinbaum ratifica que México reconoce a Palestina e Israel como Estados y pide una salida pacífica del conflicto », sur cnnespanol.cnn.com, CNN, (consulté le ).
  18. Pierre Haski, « Vers la reconnaissance de l'État de Palestine par la France : les raisons d'un changement de cap », Géopolitique, sur radiofrance.fr, France Inter, (consulté le ).
  19. « La France pourrait reconnaître l'État palestinien « en juin » : l'annonce d'Emmanuel Macron saluée par une ministre palestinienne », CNews, (consulté le ).
  20. Pierre Barbancey, « Les vraies raisons pour lesquelles Israël déclenche une guerre contre l'Iran », L'Humanité, (consulté le ).
  21. Alexandre Vella, « La Corse vote la reconnaissance de l'État Palestinien (avant la France) », 20 Minutes, (consulté le )
  22. Amaury Coutansais-Pervinquière, « L'Assemblée de Corse reconnaît un État palestinien mais... n'en a pas le pouvoir », Le Figaro, (consulté le ).
  23. AFP, « La France reconnaîtra l'État de Palestine en septembre, annonce Macron », Le Figaro, (consulté le ).
  24. AFP, « Emmanuel Macron annonce que la France va reconnaître l'État de Palestine en septembre à l'ONU », sur sudinfo.be, (consulté le ).
  25. La Presse canadienne, « Des élus libéraux veulent que le Canada reconnaisse lui aussi la Palestine en tant qu'État », sur ici.radio-canada.ca, Société Radio-Canada, (consulté le ).
  26. S.A., AFP, « Reconnaissance de la Palestine: le Parti national écossais réclame un vote au Parlement britannique », BFM TV, .
  27. AFP, « Londres envisage à son tour de reconnaître l'État de Palestine en septembre », sur ici.radio-canada.ca, Société Radio-Canada, (consulté le ).
  28. (en) Andrew Sparrow, « UK to recognise Palestinian statehood in September unless Israel agrees ceasefire and two-state solution, Starmer says – as it happened », The Guardian, (consulté le ).
  29. « Appel de New York - Déclaration conjointe des ministres des Affaires étrangères », sur diplomatie.gouv.fr, ministère des Affaires étrangères français, .
  30. AFP, « Quinze États occidentaux exhortent les autres pays du monde à annoncer leur volonté de reconnaître la Palestine », Le Figaro, .
  31. « Conférence internationale de haut niveau des Nations Unies - Déclaration de New York sur le règlement pacifique de la question de Palestine et la mise en œuvre de la solution des deux États », sur diplomatie.gouv.fr, ministère des Affaires étrangères français, .
  32. AFP, « Le Canada "a l'intention" de reconnaître l'État de Palestine en septembre à l'ONU, annonce le Premier ministre Mark Carney », sur franceinfo.fr, (consulté le ).
  33. AFP, « Après la France, le Portugal « envisage » de reconnaître l'État de Palestine en septembre », Le Figaro, (consulté le ).
  34. AFP, « Après la France et le Canada, l'Australie va reconnaître l'État de Palestine en septembre », France 24, (consulté le ).
  35. a et b AFP, « La Belgique va, elle aussi, reconnaître l'État de Palestine lors de l'AG de l'ONU en septembre », France 24, (consulté le ).
  36. AFP, « La France et neuf autres pays occidentaux reconnaîtront l'État palestinien lundi à New York, confirme l'Élysée », sur franceinfo.fr, (consulté le ).
  37. a et b E. P., « Le Royaume-Uni, le Portugal, le Canada et l’Australie reconnaissent l’État palestinien », Le Figaro, (consulté le ).
  38. (en) AFP, « UK, Canada, Australia and Portugal recognize the State of Palestine », Le Monde, (consulté le ).
  39. a b et c Sahar Ghoussoub, « Reconnaissance de l'État palestinien : ce qu'il faut savoir », L'Orient-Le Jour, (consulté le ).
  40. (en-US) AP, « Algeria Hosts 1st Palestine Envoy », Los Angeles Times, (consulté le ).
  41. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az ba bb bc bd be bf bg bh bi bj bk bl bm bn bo bp bq br bs bt bu bv bw bx by bz ca cb cc et cd (en) United Nations, « Identical letters dated 2 April 2024 from the Permanent Representatives of Mauritania, Saudi Arabia and Uganda to the United Nations addressed to the Secretary-General, the President of the General Assembly and the President of the Security Council » Accès libre , General Assembly Security Council, .
  42. (en) Konrad Bühler, State Succession and Membership in International Organizations : Legal Theories versus Political Pragmatism, La Haye, Londres et Boston, Kluwer Law International, coll. « Legal aspects of international organization » (no 38), , XXII-351 p. (ISBN 90-411-1553-6 et 978-90-04-48128-2, DOI 10.1163/9789004481282), p. 117 [lire en ligne].
  43. « Traités multilatéraux déposés auprès du Secrétaire général : Yémen », United Nations Treaty Collection, sur treaties.un.org, Organisation des Nations unies.
  44. a b c d e et f Boran Tobelem, « [Carte] Quels États membres de l'Union européenne reconnaissent la Palestine ? », sur Touteleurope.eu, (consulté le ) : « 
    • Chypre -
    • République tchèque (Tchécoslovaquie) -
    • Slovaquie (Tchécoslovaquie) -
    • Hongrie -
    • Roumanie -
    • Bulgarie -
    • Pologne -
    • Suède -  »
  45. (en) United Nations General Assembly, « Resolution 43/160: Observer status of national liberation movements » , sur undemocracy.com, United Nations Documentation Centre, (version du sur Internet Archive).
  46. (en) République populaire de Chine, Ministère des Affaires étrangères, China's Foreign Affairs, Beijing, World Affairs Press, , 647 p. (ISBN 7-5012-2587-7), p. 557.
  47. Cordélia Bonal et Julien Guillot, « Quels pays reconnaissent déjà la Palestine ? », Libération, (consulté le ).
  48. a et b (en) « Vatican to sign State of Palestine accord », The Guardian, .
  49. a et b AFP, « Le Vatican reconnaît l'État palestinien », Le Monde, .
  50. a et b (en) Roberto Cetera, « Tenth anniversary of Holy See's recognition of State of Palestine », sur Vatican News, .
  51. Belga, « Plusieurs pays dont la France et la Belgique doivent reconnaître l'État de Palestine ce lundi à l'ONU », RTBF, (consulté le ).

Article connexe