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Né d'un père graveur, Louis Hersent est élève de Jacques-Louis David et de Jean-Baptiste Regnault. Il obtient un second prix de Rome pour La Mort de Caton d'Utique en 1797. C'est un peintre d'histoire encore influencé par le néo-classicisme dû à son apprentissage chez David, et un portraitiste aux accents romantiques. Il peint un grand nombre de portraits en pieds dont : Le Duc de Richelieu, Le Prince de Carignan, etc.
Il expose La Métamorphose de Narcisse au Salon de 1802. Il continue à exposer jusqu'en 1831, avec de rares interruptions. Ses œuvres majeures sous l'Empire sont Achille se séparant de Briséis, Atala mourant dans les bras de Chactas (ces deux tableaux apparaissent parmi les gravures des Annales du musée de Landon), Un incident de la vie de Fénelon (1810, château de la Malmaison) et Le Passage du pont de Landshut (1810, château de Versailles). Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts en 1822. Nommé professeur de peinture à l'École des beaux-arts de Paris, le , en remplacement d'Anne-Louis Girodet, il aura Émile Signol pour successeur à sa mort en 1860.
Il épouse Louise Marie-Jeanne Hersent (1784-1862), fille du savant géomètre Antoine-René Mauduit. Peintre également, elle est élève de Charles Meynier. Sa première exposition au Salon de peinture date de 1810. Elle ouvre à leur domicile parisien, au 22, rue Cassette, une école de peinture réservée aux femmes. Elle en confie la direction à l'une de ses meilleures élèves, Louise Adélaïde Desnos, à qui succède Auguste Galimard (1813-1880), auteur d'une Léda célèbre qui domina la place qu'occupait la chapelle de cet ancien couvent de religieuses. Lui-même y avait son atelier ouvert à ses élèves. Marie-Jeanne Hersent meurt quatorze mois après son époux.
Le couple repose à Paris au cimetière du Père-Lachaise (32e division), où leur sépulture est ornée d'un médaillon en marbre blanc et de sculptures en bas-reliefs de François Lanno, représentant les deux artistes et leurs œuvres,.
Henry Jouin, « La Sculpture dans les cimetières de Paris : Cimetière de l'Est (Le Père-Lachaise) », Nouvelles Archives de l'art français, Paris, vol. 13, , p. 103-238 (lire en ligne).
Patrick Shawcable, « Louis Hersent », La Gazette des Beaux-Arts, , p. 20-21.
Paul Bauer, Deux siècles d'histoire au Père Lachaise, Mémoire et Documents, , 867 p. (ISBN978-2-914611-48-0).