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Les négociations de paix de 2022 entre l'Ukraine et la fédération de Russie visent à résoudre la guerre résultant de l'invasion de l'Ukraine par la Russie de 2022.
La Biélorussie fait des avances à la Russie en modifiant sa constitution pour pouvoir stocker l'arsenal nucléaire russe à partir du 27 février 2022.
Le 27 février 2022, le président ukrainien Volodymyr Zelensky accepte de participer à des pourparlers à la Frontière entre la Biélorussie et l'Ukraine, à la suite d'une conversation téléphonique avec le président biélorusse Alexandre Loukachenko, et ce, malgré un sentiment de scepticisme du côté ukrainien. Le président ukrainien exige que les négociations se déroulent en territoire neutre, d'où son refus de participer aux discussions proposées auparavant à Homiel ou à Minsk. Les pourparlers entre les représentants ukrainiens et russes ont lieu à Gomel, en Biélorussie et se terminent sans issue favorable,. Comme condition pour mettre fin à l'invasion, Poutine exige la neutralité de l'Ukraine, la « dénazification » et la « démilitarisation », et la reconnaissance de la Crimée comme territoire russe.
Le , une deuxième séance de pourparlers a eu lieu à Belovejskaïa Pouchtcha, municipalité biélorusse à proximité de la Pologne ; le principal résultat de cette séance étant un commun accord pour l'établissement de couloirs humanitaires, en raison des besoins criants d'obtenir des médicaments et de la nourriture, ainsi que d'évacuer les civils. Cet accord prévoirait également la possibilité d'un cessez-le-feu temporaire pour permettre les évacuations. Le président Zelensky interpelle son homologue russe, souhaitant vouloir négocier directement avec lui. Dans un communiqué de presse, Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, exprime sa certitude qu'une entente sera conclue entre les belligérants, mais évoque la possibilité d'un conflit nucléaire,.
Le , Israël se propose en tant que médiateur, en invoquant de solides relations avec les deux nations en conflit. Le premier ministre israélien Naftali Bennett, accompagné de Ze'ev Elkin, son ministre du Logement russophone d'origine ukrainienne, se rend à Moscou, devenant ainsi le premier dirigeant étranger à se rendre en Russie depuis le début des hostilités. Avant de s'y rendre, Bennett fait part de ses intentions à l'Allemagne, les États-Unis et la France. Il y rencontre Poutine, téléphone ensuite à Zelensky, puis se rend à Berlin pour rencontrer Olaf Scholz. Peu de détails sont connus de la teneur de ces conversations, autre que la discussion avec Scholz ait « porté sur les résultats de l'entretien que le premier ministre a eu avec le président russe Poutine » et que les chefs allemand, français et israélien continueront d'échanger à ce sujet. Du côté russe, on affirme que les dirigeants se sont entretenus au sujet de la situation ukrainienne de l'« opération militaire spéciale » dans le Donbass et les discussions de Vienne concernant le Programme nucléaire de l'Iran. Cet événement est notable, car le premier ministre israélien observe le jour du shabbat et n'entreprend aucune activité officielle pendant ce jour. Ce dernier fait référence à la « situation des Israéliens et des communautés juives à la suite du conflit » comme justification à ces visites,.
Les relations entre Israël et la Russie se tendent début mai lorsque Lavrov déclare à propos du président Zelensky, qu'être à la fois juif et nazi n'est pas incompatible, en déclarant que « Hitler avait aussi du sang juif ». L'État hébreu s'alarme alors de propos « scandaleux, impardonnables et une horrible erreur historique », tandis que le gouvernement ukrainien dénonce des « théories du complot » révélatrices d'un « antisémitisme profondément enraciné au sein des élites russes ». Moscou répond alors en accusant Israël de soutenir le « régime néonazi de Kiev » en affirmant dans un communiqué que « l'histoire connaît malheureusement des exemples tragiques de coopération entre Juifs et nazis ».
Le Financial Times publie le 16 mars, que la Russie et l'Ukraine travailleraient sur un accord préliminaire en 15 points qui comprendrait, entre autres : le cessez-le-feu et le retrait des troupes russes, la déclaration de neutralité de l'Ukraine inscrite dans sa Constitution, le russe comme co-langue officielle et enseignée dans les écoles, et bien que la Russie ait demandé la « démilitarisation » de l'Ukraine, elle ne demanderait désormais que des limites à son armée et l'interdiction des bases militaires étrangères ou des missiles nucléaires sur son territoire ; en échange la sécurité de l'Ukraine serait prise en charge par la Turquie, le Royaume-Uni et les États-Unis. Selon l'attaché de presse du Kremlin Dmitri Peskov, l'option de neutralité offerte à l'Ukraine est similaire à celle de la Suède et de l'Autriche qui lui permettrait d'entrer dans l'Union européenne, mais pas dans des alliances militaires comme l'OTAN. La Russie avait initialement appelé à la destitution de Volodymyr Zelensky, à la « démilitarisation » et à la « dénazification » de l'Ukraine et à la reddition du pays, mais Zelensky lui-même a affirmé que la Russie avait assoupli sa position et abandonné bon nombre de ces demandes.
Le principal point de discorde selon certaines sources semble être le sort du Donbass et de la Crimée, la Russie appelant à la reconnaissance de l'annexion de la Crimée et de la sécession du Donbass, ce à quoi l'Ukraine s'oppose.
Lors de la réunion du G20 en novembre 2022, le président Zelinsky présente dix points pour faire cesser les hostilités,.