Dans cet article, nous explorerons en profondeur le sujet de Novillero (Granier), en abordant ses différents aspects, son importance dans la société actuelle et sa pertinence dans le monde contemporain. Dans cette optique, nous analyserons l’impact que Novillero (Granier) a eu dans divers domaines, de la culture et de la politique à la technologie et à l’économie. Nous nous plongerons dans son histoire, ses implications et son évolution dans le temps, dans le but de mieux comprendre son sens et son influence sur notre quotidien. Nous examinerons également les perspectives d’avenir de Novillero (Granier) et son éventuel développement dans les années à venir, ainsi que les controverses et débats qu’il génère actuellement.
Artiste | |
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Date | |
Type | |
Technique | |
Dimensions (H × L) |
6,5 × 13,5 cm |
Localisation |
NC |
Novillero est une suite de dix planches de la Tauromachie IV , (série de dix burins sur cuivre), réalisée en 1952 par Jean-Marie Granier à l'époque où le jeune graveur s'était vu offrir un séjour de deux ans à la Casa de Velázquez, Madrid, en Espagne.
C'est la première planche d'une suite tauromachique au burin dans laquelle Granier fait l'inventaire des acteurs de la corrida. « Pour cela, il achète un costume, fait poser un modèle, se documente à partir de photographies et grave à partir de minutieux dessins au carreau. ».
Le novillero tenant un bouquet de fleurs à la main est inspiré par un des propres dessins de l'artiste : une illustration pour l'ouvrage de Pierre Menanteau et Georges Bouquet : Trésors de la poésie française publié chez Sudel en 1950, cité dans les ouvrages illustrés de Jean-Marie Granier sur son site officiel, encore commercialisé d'occasion dans diverses librairies en ligne. Le dessin était une jeune fille tenant un bouquet de fleurs à la main. Mais Granier avait aussi vu un novillero similaire à la feria de La Alberca de Záncara à l'été 1952.
Le novillero est un personnage isolé, avec toujours cette même figure de Pierrot triste qui caractérise les toreros de Granier. Il n'y a ni arène, ni taureau.
Il existe 2 états. Le premier, tiré sur un défet de Tristan et Yseut. Le deuxième état définitif est tiré sur guarro ancien.
Plusieurs tirages ont eu lieu : plusieurs épreuves marquées E.A (épreuve d'artiste) sur papier Rives, Guarro, Japon, et Marais ont été utilisées comme carte de vœux. Cette planche figure au catalogue de la rétrospective 1983-1984 de l'œuvre complet de Jean-Marie Granier au Musée des beaux-arts de Nîmes.