Dans le monde contemporain, SNCASE SE.3130 Alouette II a acquis une importance sans précédent. Que ce soit en raison de son impact sur la société, de son rôle dans la culture populaire ou de sa pertinence dans le monde universitaire, SNCASE SE.3130 Alouette II est devenu un sujet de conversation récurrent. En fait, il n’est pas surprenant que SNCASE SE.3130 Alouette II fasse l’objet de débats et d’analyses dans de nombreux domaines, puisque son influence s’étend à de multiples aspects de la vie moderne. Dans cet article, nous explorerons en profondeur le phénomène SNCASE SE.3130 Alouette II, en abordant ses différentes facettes et en analysant son importance dans le contexte actuel.
Alouette II | ||
Aérospatiale AS 313B Alouette II civil français, photographié en 2012 en Italie. | ||
Rôle | Hélicoptère léger polyvalent | |
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Constructeur | Sud-Aviation/Aérospatiale | |
Premier vol | ||
Mise en service | 1956 | |
Date de retrait | Toujours en service dans certains pays | |
Nombre construit | 1 305 | |
Équipage | ||
1 pilote, 4 passagers | ||
Motorisation | ||
Moteur | Turboméca Astazou IIA | |
Nombre | 1 | |
Type | Turbomoteur | |
Puissance unitaire | 550 ch | |
Nombre de pales | 3 | |
Dimensions | ||
Diamètre du rotor | 10,20 m | |
Longueur | 9,75 m | |
Hauteur | 2,75 m | |
Masses | ||
À vide | 895 kg | |
Maximale | 1 650 kg | |
Performances | ||
Vitesse de croisière | 170 km/h | |
Vitesse maximale | 205 km/h | |
Plafond | 3 200 m | |
Plafond avec effet de sol | 1 800 m | |
Plafond sans effet de sol | 1 200 m | |
Vitesse ascensionnelle | 250 m/min | |
Distance franchissable | 720 km | |
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L'Alouette II est un hélicoptère léger polyvalent produit sous diverses versions par le constructeur aéronautique français SNCASE, devenu en 1970 l'Aérospatiale, et dont le département hélicoptère a par la suite été intégré dans le groupe Eurocopter. C’est aussi le premier hélicoptère au monde certifié avec une turbine à gaz.
À sa création, le , la SNCASE (Société nationale des constructions aéronautiques du sud-est) avait absorbé la firme Lioré et Olivier et son personnel. Or Lioré et Olivier avait un département autogyre dirigé par Pierre Renoux. À la Libération de la France, Pierre Renoux reçut le renfort de quelques techniciens allemands pour tester le birotor Focke-Achgelis Fa 223 Drache, rebaptisé SE.3000.
Pour expérimenter la formule d’un projet de gros tonnage, le SE.3100, Renoux fit ensuite construire un monoplace expérimental, le SE.3101, simple structure tubulaire qui a volé en avec un moteur Mathis de 85 ch et donné naissance à un appareil biplace soigneusement caréné, le SE-3110. Mais le SE.3110 fut détruit sur accident en et l’État-actionnaire menaça de fermer le département voilures tournantes. L’ingénieur Charles Marchetti, qui venait d’être embauché pour seconder Pierre Renoux, fut donc affecté à un autre programme, au moment où Renoux décidait de quitter la SNCASE. C’est donc un tout jeune ingénieur, René Mouille, qui se retrouva à la tête d’une équipe réduite à une vingtaine de personnes chargées de mettre au point ce qui était annoncé comme une « version agricole » du SE-3110 bien que disposant d’un aménagement triplace.
Le prototype SE.3120 Alouette , que le pilote d’essais Henri Stakenburg réussit à faire décoller le 31 juillet 1951, était équipé d'un moteur à piston Salmson 9NH de 200 ch et souffrait de problèmes de vibrations qui furent heureusement vite résolus. Il affichait aussi d’excellentes performances, mises en évidence par Jean Boulet le : Il s'adjugea à bord du second prototype deux records en circuit fermé : celui de vitesse à 103,913 km/h et celui de distance avec 1 252,572 km. Cet appareil fut testé avec succès dans différentes configurations, mais sa construction s’avéra trop complexe pour qu’une production de série puisse être envisagée.
Début 1950 le bureau d’études hélicoptères de la SNCASE disposait de sept projets d’hélicoptères équipés de turbomoteurs (X-310A/G) établis par Pierre Renoux avant son départ de la société. Celui-ci suivait en effet avec attention les travaux de Joseph Szydlowski chez Turboméca. La turbine à gaz semblait en effet la réponse aux problèmes posés par les moteurs à piston (poids, encombrement, puissance…), mais les constructeurs américains avaient échoué dans ce domaine. Nommé ingénieur en chef du bureau d’études voilures tournantes le , Charles Marchetti et son équipe pensaient y arriver. Profitant du regain d’intérêt des services officiels suscité par les records obtenus avec le SE.3120, officiellement baptisé Alouette, Marchetti obtint l’accord du directeur technique de la SNCASE, André Vautier, de développer le projet X-310G équipé d’une turbine Artouste, sous réserve de faire vite. Il fallait des résultats concrets dans les deux ans. Le nouvel hélicoptère prit la désignation SE.3130.
Chargé de dessiner l’appareil, René Mouille fit simple en adoptant des systèmes éprouvés : la SNCASE détenant une licence, on utilisa un boitier de transmission principal dérivé de celui du Sikorsky S-55 et un moyeu de rotor principal extrapolé des moyeux allemands et La Cierva. Les pales étaient une combinaison des technologies Bell et Sikorsky. La principale innovation du SE.3130 était donc sa motorisation, que l’on aurait pu se contenter d’appliquer au SE.3120. Mais l’Artouste était passée de 250 (Artouste 1) à 400 ch (Artouste 2) et il devenait possible d’envisager un appareil pour quatre ou cinq passagers, un créneau sans concurrence. Un nouvel hélicoptère fut donc dessiné, même si les grands principes de construction du SE.3120 furent conservés.
Le SE.3130-01, immatriculé F-WHHE, fit son premier vol sur le terrain du Buc le 12 mars 1955, piloté par Jean Boulet et Henri Petit, avec une Artouste II de 360 ch. Quelques problèmes de vibrations vite résolus, un second prototype fut rapidement mis en chantier à La Courneuve. Il prit l’air le , immatriculé F-WHHF. Les qualités incontestables de l'Alouette II donnèrent l'idée aux ingénieurs d'essayer de battre un record. Ce fut fait le 6 juin 1955, à Buc, avec le SE.3130-02 piloté par Jean Boulet qui emmena l'appareil à 8 209 mètres, battant ainsi le record d'altitude pour hélicoptères (Catégories E1 et E1b), détenu depuis le 17 octobre 1954 par le Sikorsky S-59 (en) (XH-39), également motorisé avec une Artouste 2, avec 7 472 m,
Le l'Alouette II 1003 F-GIJE (la plus vieille encore en service) décolle de Lognes pour une première mondiale : la traversée transatlantique de Paris à Oshkosh. Sans le moindre problème technique l'équipage Pascal Petitgenet et David Dahdi dépose, après 65 heures de vol, la 1003 sur le sol américain après avoir traversé l’Angleterre, l’Écosse, les îles Féroé, l’Islande, le Groenland, le Canada et des États-Unis
Le l'Alouette II 1003 F-GIJE est utilisé pour l'évasion de Rédoine Faïd de la prison de Réau en Seine-et-Marne.
Trois appareils de présérie (SE.3130-04/06) prirent l’air les , et . Destinés à la Marine nationale, premier client de l'Alouette II, ils avaient leurs patins remplacés par un atterrisseur quadricycle Messier, facilitant la manutention des hélicoptères sur les navires. Ces appareils étaient destinés à la formation des premiers pilotes de l’Aéronavale, dont la formation fut assurée par Gérard Henry.
Le une Alouette II de présérie allait récupérer à plus de 4 000 m un alpiniste victime d’un malaise cardiaque, et le c’est encore une Alouette II qui allait au secours de l’équipage d’un Sikorsky S-58 qui s'était écrasé dans le massif du Mont Blanc à la recherche des alpinistes Jean Vincendon et François Henry. Ces opérations, largement couvertes par la presse nationale, facilitèrent l’obtention de la certification civile française, délivrée le 2 mai 1957 par la DGAC. Le l’Alouette II devint le premier hélicoptère à turbine à décrocher la certification américaine. En 1963 une Alouette II fut le premier hélicoptère à turbine utilisé en opérations commerciales aux États-Unis.
Sorti d’usine 13 mois seulement après le premier prototype, le premier appareil de série fut livré à l’Armée de l’Air. En une Alouette II de l'Armée de l’Air (no 9) accompagne l’expédition Paul-Émile Victor au Groenland. Si une Alouette II fut livrée dès le mois de à l’agent Sud-Aviation en Suède, le Portugal fut le premier client militaire étranger avec un appareil livré dès .
Après fusion de la SNCASE et de la SNCASO en , Sud-Aviation poursuivit le développement de la famille Alouette. L’Alouette II était initialement fabriquée à l'usine de La Courneuve, les essais en vol s'effectuant au Bourget, où un centre d'essais des pales et ensembles mécaniques, le CEHB, fut installé. Mais le succès de l'hélicoptère commandait un agrandissement des installations. L'usine Sud-Aviation de Marignane manquant de charges de travail, la production y fut transférée en 1961, puis les essais en vol en 1962 et l'ensemble des travaux d'études en 1964, l'usine de La Courneuve ne conservant que la fabrication des pales et la direction commerciale.
Outre les deux prototypes, SNCASE, Sud-Aviation, puis Aérospatiale à partir de 1970, ont produit 1 305 Alouette II, soit 923 SE.3130/SE.313B à turbomoteur Turbomeca Artouste (134 civils et 789 militaires) et 382 SE.3180/SE.318C à turbomoteur Astazou (208 civils et 174 militaires). À ces chiffres, il faudrait ajouter un nombre imprécis d'appareils produits sous licence en Suède (2), aux États-Unis (20 appareils produits par Republic Aviation), en Inde (250+) et au Brésil. À noter que Republic Aviation testa sur deux SE.3130 de série (N527 c/n 1129 et N529, c/n 140) un turbomoteur Garrett AiResearch Lark (Alouette en anglais) de 500 ch. Le dernier SA.318C est sorti d'usine au printemps 1975, date à laquelle l'Alouette II était en service dans plus de 80 pays et 47 forces armées.
Le SE.3130 est un appareil de conception simple, dont la structure repose sur un ensemble triangulé en tubes d'acier soudés et gonflés à l’azote, un voyant en bout de queue permettant de détecter les fuites, donc les criques. Cette structure reçoit à l’avant une cabine largement vitrée, équipée de larges portes. On trouve derrière la boite de transmission principale, avec au-dessus un rotor composé de trois pales métalliques à pas variable et en dessous un réservoir de carburant de 596 litres. La turbine est montée au-dessus, juste derrière la boite de transmission. À l’arrière un empennage horizontal, un rotor anti-couple bipale et une béquille de protection. L’ensemble repose en principe sur deux patins, qui peuvent être remplacés par un train quadricycle ou des flotteurs.
L’aménagement standard comprend deux sièges en avant, dont un pour le pilote, et trois sièges à l’arrière, mais les équipements optionnels sont nombreux et permettent une grande variété de missions : transport de charges sous élingue, évacuation sanitaire, pulvérisation agricole, sauvetage avec treuil...
Ici ne seront listés que les accidents et incidents mortels ou impliquant plusieurs appareils (liste non exhaustive).
Date | Lieu | Modèle | Numéro de série
Immatriculation |
Opérateur | Causes | Nombre de victimes |
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Mer de Glace | SE.3130 Alouette II | 1075/C9 | Aviation légère de l'Armée de terre | Crash pendant le sauvetage d'un alpiniste sur le glacier. | 4 morts | |
Vallée Blanche | SE.3130 Alouette II | ? | Mont Blanc Aviation | Percute une ligne électrique. | 4 morts | |
Astrida | SE.3130 Alouette II | 1293/127C (A01) | Force Aérienne Belge | Pilotage à la limite de puissance du moteur, entraînant un arrêt de celui-ci à basse altitude. L'appareil s'écrase dans une pente. | 2 survivants | |
Lac Tanganyika | SA.318C Alouette II | ? (A02) | Force aérienne belge | Mauvaises données de vol lors d'un vol de nuit, s'écrase dans un lac. | 2 morts, 3 survivants | |
Aix-les-Bains | SE.3130 Alouette II | ? | Force aérienne belge | Percute en vol un Bell 47 français. | 6 morts (4 dans l'Alouette) | |
Götzener Lizum | SE.3130 Alouette II | 1126 (3D-XT) | Force aérienne autrichienne | Percute un câble puis s'écrase. | 1 mort, 2 blessés graves | |
Stetten am kalten Markt | SE.3130 Alouette II | 1447 (PJ+331) | Heeresfliegertruppe | Percute une ligne électrique puis s'écrase. | 4 morts | |
Cassel | SE.3130 Alouette II | 1574 (PG+133) | Heeresfliegertruppe | Percute une ligne électrique et s'écrase dans une rivière. | 4 morts | |
Vidsel | SE.3130 Alouette II | 1176 (SE-HDB) | Svensk Flygtjänst AB (en) | Un bouchon de chargement se détache et percute le rotor de queue. | 2 morts | |
Orust | HKP 2 Alouette II | ? (Y111) | Marine royale suédoise | Percute une ligne électrique | 3 morts | |
Bissalanca | Sud Aviation SE 3130 Alouette II | 1107 (C20) | Force aérienne portugaise | ? | 2 morts | |
Israël | SE.3130 Alouette II | 1223 (08/4X-BAA) | Force aérienne et spatiale israélienne | Crash au sol | 2 morts et 2 blessés | |
Cannes | SE.3130 Alouette II | ? | Aviation légère de l'Armée de terre | Percute un Sikorsky S-55 en vol. | 3 morts (2 dans l'Alouette) | |
Mariental | SE.3130 Alouette II | 1835/C469 (PF+145) | Heeresfliegertruppe | Percute une ligne électrique | 2 morts | |
Toulon | SE.3130 Alouette II | ? | Aviation légère de l'Armée de terre | S'écrase dans la mer puis coule. | 4 morts | |
Birkenhördt | SE.3130 Alouette II | 1567 (XR377) | Army Air Corps | Percute une ligne électrique | 1 mort et 2 survivants | |
Banning | SA.318C Alouette II Astazou | 1963 (C-FBHL) | Llock Helico | Perte de contrôle après avoir percuté des arbres. | 2 morts, 1 blessé | |
Grossschlierental | 2 SE.3130 Alouette II | 1904 (V-58) & 1921 (V-67) | Forces aériennes suisses | Collision en vol, le V-67 s'écrase au sol et le V-58 parvient à réaliser un atterrissage catastrophe à Alpnach. Un troisième appareil sera très légèrement endommagé par des débris. | 1 mort | |
Krumbach | SE.3130 Alouette II | 1817/C451 (PY+207) | Heeresfliegertruppe | S'écrase dans un champ. | 3 morts | |
Nigeria | SE.3130 Alouette II | ? | Forces armées nigérianes | S'écrase au sol. | 3 morts | |
Mer du Nord | SE.3130 Alouette II | 1768/C420 (D-HICA) | Deutsches Zentrum für Luft- und Raumfahrt | Devait rejoindre un bateau mais s'écrase dans la mer à cause de fortes chutes de neige. | 2 morts | |
Bruxelles | SE.3130 Alouette II | ? | Police belge | Percute une ligne électrique. | 2 morts | |
Todtmoos | SE.3130 Alouette II | 1658/C344 (76+42) | Heeresfliegertruppe | S'écrase au sol. | 2 morts | |
Untermässing | SE.3130 Alouette II | 1350/C158 (75+41) | Heeresfliegertruppe | S'écrase à cause du blizzard. | 1 mort | |
Tauberbischofsheim | SE.3130 Alouette II | 1659/C345 (76+43) | Heeresfliegertruppe | Percute une ligne électrique. | 1 mort | |
Verden | SE.3130 Alouette II | 1748/C405 (76+73) | Heeresfliegertruppe | S'écrase dans une rivière après un bruit d'explosion. | 2 morts | |
Mittlenberg, Binntal | SE.3130 Alouette II | 1925 (V-69) | Forces aériennes suisses | Perte du rotor arrière. | 1 mort | |
Mechernich | SE.3130 Alouette II | ? | Heeresfliegertruppe | ? | 1 mort | |
Wicklow Head | SA.318C Alouette II | 1971/C599 (G-AWEE) | Samuelson Aviation | Une réplique de Royal Aircraft Factory S.E.5 percute l'Alouette pendant le tournage du film Zeppelin. | 3 + 1 morts | |
Antonigraben | SA.318C Alouette II | 2129/A205 (77+70) | Heeresfliegertruppe | S'écrase au sol puis prend feu. | 2 morts et 1 blessé | |
Glendora | Aérospatiale Alouette II | 2048 (N2355) | Western Helico | Surcharge de l'appareil. | 5 morts | |
Rüti | SE.3130 Alouette II | 1898 (V-55) | Forces aériennes suisses | Panne moteur à cause de la neige. Atterrissage d'urgence dans une forêt. | 1 mort et 2 blessés | |
Anaktuvuk Pass | SA.318C Alouette II | 2060 (N9222) | Gay Airways | Neige. | 2 morts et 2 survivants | |
Lake Minchumina | Aérospatiale Alouette II | 2227 (N4966) | Bureau of Land Management | Le pilote n'a pas assez mis les gaz. | 1 mort et 4 survivants | |
Montfort-l'Amaury | SE.313B Alouette II | 1202 (F-BTAP) | Héli-Union | Percute une ligne électrique. | 2 morts | |
Knittelfeld | SE.3130 Alouette II | 1156 (3D-XV) | Force aérienne autrichienne | Percute une ligne électrique. | 1 mort, 2 blessés | |
Admonter Reichenstein | SE.3130 Alouette II | 1125 (3D-XS) | Force aérienne autrichienne | Un câble touche le rotor principal. | 3 morts | |
Base militaire de Bergen | SE.3130 Alouette II | 1790/C433 (76+88) | Heeresfliegertruppe | Percute une ligne électrique | 1 mort et 1 blessé | |
Rheinau | SA.318C Alouette II | 1948 (D-HIFE) | Polizei Baden-Württemberg | Panne moteur. | 3 morts | |
Olpe | SE.3130 Alouette II | ? | Bundesgrenzschutz | Percute une ligne électrique. | 1 mort et 1 survivant | |
Düsseldorf | SA.318C Alouette II | 1937/C569 (D-HAKA) | Luft-Transport-Dienst F. Stetzler | Percute une ligne électrique. | 2 morts et 1 survivant | |
Northeim | 2 SE.3130 Alouette II | ? | Heeresfliegertruppe | 2 Alouette II se percutent lors d'un vol en formation. | 4 morts (2+2) | |
Eschershausen | SE.3130 Alouette II | ? | Heeresfliegertruppe | S'écrase dans un bois. | 3 morts | |
Lomé | SA.318C Alouette Astazou | 2250 (5V-MAJ) | Armée de l'air togolaise | S'écrase dans la mer. | 5 morts | |
Ottersberg | SE.3130 Alouette II | 1625/C321 (76+29) | Heeresfliegertruppe | S'écrase puis brûle. | 2 morts | |
Marigny | SE.3130 Alouette II | ? | Aviation légère de l'Armée de terre | ? | 4 morts | |
Straßberg | SE.3130 Alouette II | 1311/C138 (75+29) | Heeresfliegertruppe | Percute un North American OV-10 Bronco de l'United States Air Force lors d'un exercice de l'Otan. | 2 + 1 morts | |
Savoonga | SA.318C Alouette Astazou | 2168 (N9367) | Evergreen Helicopters Of Alaska | Mauvaise visibilité puis erreur de pilotage. | 2 morts et 1 blessé | |
Aéroport de Rijeka | SE.3130 Alouette II | 1648 (G-FILM) | Alan Mann Helicopters | Percute des câbles téléphoniques pendant le tournage des Aventuriers du bout du monde. | 3 morts | |
The Wash | SA.318C Alouette II | 1966 (G-AWAP) | Helicopter Hire Ltd | Panne du rotor principal, s'écrase sur un Banc de sable. | 4 morts | |
Kürten | SE.3130 Alouette II | 1533/C264 (75+97) | Heeresfliegertruppe | S'écrase après un wire strike. | 1 mort, 2 blessés | |
Siletz | SA.318C | 2227 (N4966) | Privé | Baisse de puissance alors qu'il était en train d'être chargé de troncs de cèdre. | 1 mort | |
Bückeburg | 2 SE.3130 Alouette II | 1840/C474 (76+95) et 1576/C289 (76+12) | Heeresfliegertruppe | La première attendait au sol pour décoller et est percutée par la seconde en train d'atterrir. | 1 mort (dans la 2e Alouette) | |
Monte Viu | SE.3130 Alouette II | 1546 (I-TRAN) | Elilombarda | S'écrase dans un ravin à cause du mauvais temps. | 3 morts | |
Monte Colmo | SA.318C Alouette II | 1683 (I-REMA) | Elilombarda | Panne du rotor principal. | 4 morts | |
Brunswick | SA.318C Alouette II | ? | Bundesgrenzschutz | S'écrase dans un champ lors d'un vol de nuit. | 2 morts | |
Col du Lautaret | SE.3130 Alouette II | 1714 (F-GMJM) | Helivalto | Percute la montagne. | 3 morts | |
Vitrolles | SA.318B Alouette Astazou | 1979 (F-BJQK) | Méditerranée | Percute une ligne électrique. | 2 morts et 2 blessés | |
Hyères | Aérospatiale Alouette II | 1113 (1113) | Force maritime de l'aéronautique navale | Prend feu pendant son vol, atterrissage brutal. | 4 morts | |
Brasschaat | SA.318B Alouette II | 2110 (A76) | Force aérienne belge | Panne moteur. | 2 morts | |
Dögen | SA.318C Alouette II | 2026 (D-HEDI) | Bundesgrenzschutz | S'écrase puis prend feu dans un forêt pendant un vol de nuit. | 3 morts | |
Lognes | SE.313B Alouette II | ? (F-GLPV) | Heli Plaisance | S'écrase dans un bois. | 2 morts et 2 blessés | |
Conca | SE.313B Alouette II | ? (F-GIJL) | Helidan | S'écrase pendant un vol de contrôle des lignes électriques. | 4 morts | |
Kemer | SA.318C Alouette Astazou | ? | Emniyet Müdürlüğü Antalya | Perd son rotor principal après avoir percuté une ligne électrique. | 4 morts | |
Salin-de-Giraud | SE.318B Alouette II | 1386 (F-GZFS) | Privé | Retombe au sol alors qu'il décollait. | 3 morts au sol | |
Bollate | SA.318C Alouette Astazou | 1786 (I-GKBM) | ASSAS | ? | 2 morts | |
Anjozorobe | SA.318C Alouette Astazou | 2187 (5R-MHY) | Madagascar Helicopter | ? | 2 morts | |
Bosphore | SA.318C Alouette Astazou | 2008/C635 (EM-2008) | Emniyet Müdürlüğü Istanbul | S'écrase dans la mer. | 4 morts et 1 survivant | |
El Cuervo de Sevilla | SE.3130 Alouette II | Non-immatriculé | Privé | S'écrase, la police pense qu'il transportait de la drogue. | 3 morts | |
Gaby | PD.318C | 001 (I-PAAD) | Privé | ? | 2 morts | |
Breighton Airfield (en) | SE.3130 Alouette II | 1500 (HA-PPC) | Privé | S'écrase à son atterrissage. | 1 mort et 4 blessés |