Tourneur (Camargue)

Dans cet article, nous explorerons l'impact et les implications de Tourneur (Camargue) sur la société moderne. Depuis son émergence jusqu'à son influence sur différents aspects de la vie quotidienne, Tourneur (Camargue) a joué un rôle crucial dans l'élaboration de divers domaines, tels que la politique, l'économie, la technologie et la culture. Grâce à une analyse approfondie, nous examinerons comment Tourneur (Camargue) a évolué au fil du temps et comment il a façonné les perceptions et les actions des gens du monde entier. De plus, nous aborderons les controverses et les débats générés par Tourneur (Camargue), ainsi que son impact potentiel dans le futur. Cet article cherche à fournir une vision complète et perspicace de Tourneur (Camargue) et de son importance dans la société contemporaine.

Un tourneur face à un Cocardier à corne nue lors d'une course camarguaise à Aimargues, .

Dans la course camarguaise le tourneur est l'assistant du raseteur qu'il aide à affronter le cocardier, taureau castré très vif et léger, auquel il faut enlever les attributs primés que l'animal porte sur la tête.

Présentation

Le tourneur aide le raseteur à fixer le taureau. Il détourne l'attention de la bête pour que le raseteur puisse faire son raset. Son nom est écrit en rouge dans le dos.

Il ne possède pas de crochet. Il est chargé d'attirer l'attention du taureau pour le « tourner » face au raseteur qui s'apprête à s'élancer, d'où son appellation de tourneur. L’appel du tourneur doit se faire suivant des règles : il ne doit utiliser que son corps et ne doit pas être en contre-piste ou enjamber les barrières.

Statut

Le plus souvent un ancien raseteur lui-même, le tourneur est dans la course camarguaise plus ou moins l'équivalent d'un peón dans la corrida classique. Il est rémunéré par le raseteur qui lui donne une partie de ses primes, tout comme le torero paie sa cuadrilla..

Bibliographie

Notes et références

  1. Saumade 1998, p. 82
  2. Saumade 1994 et 1995, p. 75
  3. Maudet 2010, p. 88
  4. Saumade 1998, p. 85 et 204

Voir aussi