Dans cet article, nous explorerons l'impact que Artimon a eu dans différents domaines de la société. Que ce soit sur le plan personnel, professionnel ou social, Artimon a laissé une marque importante sur notre façon de vivre et de communiquer. Depuis son émergence jusqu’à nos jours, Artimon a fait l’objet de débats et de réflexions, suscitant à la fois admiration et controverse. À travers cette analyse, nous chercherons à comprendre plus profondément le rôle que joue Artimon dans nos vies et comment il a influencé notre façon de penser, d'agir et de ressentir.
L’artimon ou voile d'artimon est la voile basse principale portée sur le mât d'artimon d'un voilier à deux mâts ou plus (le mât d'artimon étant le mât le plus à l'arrière d'un voilier, derrière le grand mât).
Sur les grands voiliers, le pavillon national était frappé sur la corne d'artimon.
Le mot artimon à une origine variable suivant les sources : il pourrait être issu du bas latin de Gênes artimonus, littéralement: « voile du mât », dérivant du latin classique artemo, artemonis qui signifie « petite voile »,, ou du grec artemôn.
Le terme anglais mizzen sail désignant la voile d'artimon est un faux ami de la voile de misaine (voile du mât de misaine) qui s'appelle foresail en anglais.
Sur les gréements carrés comme pour les gréements auriques, le mât d'artimon présente toujours une brigantine (voile aurique) rarement associé à une deuxième voile basse carrée : la voile d'artimon ou voile barrée(crossjack en anglais,), l'artimon pouvant parfois désigner à tort la brigantine sur les gréements carrés.
Sur les gréements auriques et bermudiens, la voile basse du mât d'artimon présente toujours une seule voile (à corne, houari ou bermudienne) qui est la voile d'artimon qui correspond sur les gréements aurique à la brigantine. Pour un gréement au tiers, on parle de taille-vent pour désigner cette voile, et lorsque le mât d'artimon est situé à l'arrière du gouvernail, la voile qu'il porte s'appelle tapecul.