Candidats à la primaire ouverte de la droite et du centre en 2016
Aujourd'hui, nous souhaitons aborder le sujet de Candidats à la primaire ouverte de la droite et du centre en 2016, un aspect qui a gagné en importance ces derniers temps et qui suscite l'intérêt d'un large spectre du public. De ses origines à son impact sur la société moderne, Candidats à la primaire ouverte de la droite et du centre en 2016 a fait l'objet de débats, de réflexions et d'études. Tout au long de l’histoire, Candidats à la primaire ouverte de la droite et du centre en 2016 a influencé divers domaines de la vie, de la politique à la culture, et sa pertinence n’a cessé de croître. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Candidats à la primaire ouverte de la droite et du centre en 2016, en examinant son évolution au fil du temps et son impact aujourd'hui. Nous espérons que cette analyse fournira une vision plus large et plus riche sur Candidats à la primaire ouverte de la droite et du centre en 2016, offrant à nos lecteurs une compréhension plus approfondie de ce sujet d'intérêt universel.
Jean-François Copé (52 ans) annonce sa candidature le 14 février 2016 au Journal de 20 heures de France 2, quelques semaines après la sortie de son livre Le Sursaut français. Après près de 18 mois de silence médiatique, il dit être prêt à revenir sur le devant de la scène.
François Fillon (62 ans) annonce sa candidature le 9 mai 2013,. Il la confirme le 15 avril 2015 en déclarant qu'il est « un candidat qui veut proposer un projet de rupture et de progrès avec l'ambition de faire de la France la première puissance européenne en 10 ans ». Il annonce en janvier 2016 qu'il quittera la politique s'il échoue à remporter la primaire. Il déclare, tout comme Alain Juppé, ne vouloir faire qu'un seul mandat s'il est élu en 2017.
Alain Juppé (71 ans) annonce sa candidature le 20 août 2014,. Il a écrit quatre livres présentant et détaillant son programme : le premier en août 2015 : Mes chemins pour l'école, le second en janvier 2016 : Pour un État fort, le troisième en mai 2016 : Cinq ans pour l'emploi, le quatrième paru en septembre 2016 : De vous à moi.
Création d'un statut général de travailleur indépendant.
Instauration d'une « flat tax » ou d'un « impôt proportionnel individualisé » auquel serait assorti un revenu de base pour tous.
Réforme de la politique familiale avec le versement aux parents d'une allocation de ressources dès le premier enfant et jusqu'à ses dix-huit ans (allocation augmentée entre les 14 et 17 ans de l'adolescent).
Autres
Dépénalisation de la consommation de cannabis, avec maintien des contraventions.
Bruno Le Maire (47 ans) déclare officiellement sa candidature lors d'une réunion publique à Vesoul le 23 février 2016. « Ma décision est simple, solide, inébranlable. Oui, je suis candidat à la présidence », dit-il sur scène. Il avait auparavant laissé peu de doute sur sa participation à la primaire. « Si je vous disais que je ne suis pas prêt pour le primaire, je vous mentirais. Et je ne veux pas mentir », avait-il dit sur RTL 4 en janvier. Dans le sillage de sa candidature, Bruno Le Maire publie un livre sur sa vision de la France intitulée Ne vous résignez pas, puis le 17 septembre, son programme détaillé Contrat présidentiel.
Jean-Frédéric Poisson (53 ans) se présente à la primaire le 14 septembre 2015 en tant que président du Parti chrétien-démocrate, et en tant que tel est directement qualifié à la primaire, sans avoir à trouver les parrainages nécessaires.
Nicolas Sarkozy (61 ans) se déclare candidat le 22 août 2016, quelques jours avant la date limite de dépôt des candidatures. Trois jours après, il publie son livre programmatique Tout pour la France.
Sur le plan économique, Nicolas Sarkozy propose la suppression de l'ISF, le report de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans en 2024 et l'alignement des régimes de retraite du public sur ceux du privé. L'ancien président souhaite aussi baisser les impôts de 40 milliards d'euros et la dépense publique de 100 milliards. Il affiche également sa volonté de baisser le nombre de fonctionnaires de 300 000 effectifs sur cinq ans, et souhaite que ceux-ci travaillent 37 heures hebdomadaires. Il veut consacrer 2 % du budget à la défense d'ici 2025.
Au niveau européen, il n'exclut pas la tenue d'un référendum sur l'Union européenne et souhaite un traité de refondation. Il propose également la création d'un fonds monétaire européen ainsi que d'un secrétaire général du gouvernement économique. Ancien partisan de l'introduction de la règle d'or budgétaire dans la Constitution, il propose, comme les autres candidats , à la primaire, de s'affranchir provisoirement des engagements pris par la France auprès de Bruxelles. Auparavant opposé à l'usage du référendum, il s'engage à l'utiliser (concernant la suspension du regroupement familial et la mise en rétention administrative des personnes fichées S), comme durant sa campagne présidentielle de 2012.
Candidatures non retenues
Candidats n'ayant pas obtenu les parrainages nécessaires
Les personnes suivantes se sont déclarées candidates à la primaire, mais n'ont pas réussi à rassembler les parrainages nécessaires pour participer au scrutin.
Nom et âge
Détails des fonctions et précision sur la candidature
Ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, il annonce sa candidature le 13 juin 2016 en déclarant qu'il a « quelque chose à dire. J'en ai assez de cette politique qui ne sait plus dire non ». N'étant pas parvenu à réunir les parrainages nécessaires pour concourir à la primaire, il entend se présenter directement à l'élection présidentielle.
Il se déclare candidat à la primaire le 20 janvier 2016. Faute de parrainages suffisants, il tente une demande au titre « autres partis », mais il est débouté pour « recevabilité » le 14 septembre 2016 par la HAP.
Il se déclare candidat à la primaire le 20 septembre 2015. Pour appuyer sa candidature, il publie un livre intitulé Le Printemps des Libertés. Le 16 janvier 2016, il se prononce contre la candidature de Nicolas Sarkozy à la primaire, estimant que si l'ancien président de la République était le candidat de la droite et du centre à l'élection présidentielle de 2017, cela favoriserait la réélection de François Hollande. Le 21 septembre 2016, la Haute Autorité annonce qu'il lui manque des parrainages d'adhérents LR pour pouvoir se présenter à la primaire.
Trois autres candidats avaient déposé leur candidature au titre des « autres partis ou groupements politiques »,,. Les trois candidats ont été jugés irrecevables par la HAP,,, :
le député Les Républicains Frédéric Lefebvre (52 ans) au titre de son micro-parti Nouveaux Horizons ;
l'avocat Michel Guénaire (60 ans) au titre de son micro-parti Société civile 2017 (SC17) ;
l'élu local centriste Mourad Ghazli (42 ans) au titre du Mouvement pour l’équité et le développement.
Candidatures retirées
Les personnes suivantes ont exprimé leur intention de se présenter avant de se retirer :
Hassen Hammou (27 ans) annonce son intention de participer à la primaire le 23 janvier 2015 dans L'Express. Il participe à l'interview du président François Hollande sur TF1 le 6 novembre 2014,. Candidat sur une liste divers gauche lors des élections municipales de 2014 à Marseille, il rejoint l'UMP en décembre 2014. Il a été testé lors d'une unique enquête d'opinion et renonce finalement à se présenter le 5 septembre 2016 par déficit de parrainages,.
Candidatures déclinées
Les personnes suivantes ont été supposées candidates par certains médias et ont soit décliné par la suite, soit rallié un autre candidat :
François Baroin (51 ans), ancien ministre, ancien député, maire de Troyes et sénateur de l'Aube. Il soutient officiellement Nicolas Sarkozy le 5 juin 2016 contre, d'après certains médias, la promesse de ce dernier d'un « ticket(en) » pour le poste de Premier ministre.
Jean-Louis Borloo (65 ans), ancien ministre, ancien député, ancien maire de Valenciennes et fondateur de l'UDI. Considéré par Hervé Morin comme « le candidat naturel du centre à la primaire », il refuse toutefois de revenir en politique,.
Valérie Pécresse (49 ans), ancienne ministre, ancienne députée et présidente du conseil régional d'Île-de-France. Elle ne souhaite pas participer à la primaire d'après un entretien du 6 septembre 2015.
Michèle Alliot-Marie (69 ans), ancienne ministre et députée européenne. Elle envisage néanmoins de ne pas passer par la primaire et de se présenter directement à l'élection présidentielle, ce qu’elle confirmera ensuite en août 2016,.
Rama Yade (39 ans), ancienne secrétaire d'État et ancienne conseillère régionale d'Île-de-France. Elle annonce sa candidature à l'élection présidentielle le 21 avril 2016 sur TF1 sous la bannière de son mouvement La France qui ose, sans passer par la primaire.
↑ abcd et e« Jean-Frédéric Poisson dans le grand bain », Libération.fr, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bCas particulier de limite de dépôt. Les statuts du parti prévoient que le président des Républicains doit démissionner « au plus tard quinze jours avant la date fixée pour le dépôt des déclarations de candidature » s'il souhaite participer à la primaire. (i.e le au plus tard pour une date limite fixée au ).
↑Matthieu Goar et Alexandre Lemarié, « Présidentielle : ce que propose Sarkozy dans son livre », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
↑Arthur Berdah, « Primaire : Mariton reconnaît sa disqualification et ne formera pas de recours », Le Figaro, (ISSN0182-5852, lire en ligne, consulté le ).
↑Alexandre Lemarié, « Morano, « l’amoureuse éconduite » qui veut chiper des voix à Sarkozy lors de la primaire », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
↑Charte art.4.3.II : « Pour les candidats issus des autres partis et groupements politiques concourant à la primaire, les conditions de présentation des déclarations de candidature sont arrêtées par les organes délibérants des partis concourant à la primaire. »
↑Préambule : « Tout parti ou groupement politique peut demander à participer à la primaire. ».
↑HAP Décision - 14 septembre 2016 : Art. 3 – Les candidatures de M. Michel GUENAIRE, déposée au titre du parti « Société Civile 2017 », de M. Frédéric LEFEBVRE, déposée au titre du parti « Nouveaux Horizons » et de M. Mourad GHAZLI, déposée au titre du parti « Mouvement pour l’équité et le développement » sont irrecevables. .
↑Il fait partie d'un panel de « quatre Français censés incarner les problèmes brûlants du pays ». «Ce sont eux qui m’ont contacté, se souvient-il. Je correspondais au profil qu’il recherchait : un jeune diplômé, sans emploi et avec des engagements ».