Anhydride oxalique
Dans le monde d'aujourd'hui, Anhydride oxalique est un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes. Avec les progrès de la technologie et la mondialisation, Anhydride oxalique est devenu un sujet pertinent pour divers domaines de la société. De son impact sur la santé à son influence sur l’économie, Anhydride oxalique a suscité de nombreux débats et généré un large éventail d’opinions. Dans cet article, nous explorerons différentes perspectives sur Anhydride oxalique et discuterons de son importance dans le contexte actuel. De son origine historique à ses possibles implications futures, Anhydride oxalique est un sujet qui ne laisse personne indifférent.
| Anhydride oxalique | |
| |
| Identification | |
|---|---|
| Nom UICPA | oxirane-2,3-dione |
| No CAS | |
| SMILES | |
| InChI | |
| Propriétés chimiques | |
| Formule | C2O3 [Isomères] |
| Masse molaire | 72,019 6 ± 0,002 5 g/mol C 33,35 %, O 66,65 %, |
| Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire. | |
modifier  |
|
L'anhydride oxalique ou anhydride éthanedioique, aussi appelé oxiranedione, est un composé organique hypothétique de formule C2O3 qui peut être vu comme l'anhydride de l'acide oxalique ou la double cétone de l'oxirane. c'est aussi un oxyde de carbone.
Ce composé simple n'a apparemment pas encore été observé (en 2009). En 1998, toutefois, Paolo Strazzolini et d'autres ont déclaré la synthèse de la dioxanetétracétone (C4O6), qui peut être considéré comme le dimère cyclique de l'anhydride oxalique.
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Oxalic anhydride » (voir la liste des auteurs).
- Masse molaire calculée d’après « Atomic weights of the elements 2007 », sur www.chem.qmul.ac.uk.
- (en) Paolo Strazzolini, Alberto Gambi, Angelo G. Giumanini and Hrvoj Vancik, « The reaction between ethanedioyl (oxalyl) dihalides and Ag2C2O4: a route to Staudinger’s elusive ethanedioic (oxalic) acid anhydride », J. Chem. Soc., Perkin Trans. 1, no 16, , p. 2553–2558 (DOI 10.1039/a803430c)
