Aujourd'hui, nous allons explorer le monde fascinant de 1748 en France. Que vous soyez intéressé par son impact sur la société, sa pertinence historique ou que vous souhaitiez simplement en savoir plus sur 1748 en France, cet article vous fournira un aperçu complet et détaillé du sujet. De ses origines à son influence actuelle, en passant par ses nombreuses facettes et controverses, nous plongerons dans une analyse complète pour mieux comprendre ce qu'est 1748 en France et pourquoi il est si important. Alors préparez-vous pour un voyage informatif qui ouvrira de nouvelles perspectives et connaissances sur 1748 en France.
15 janvier : la Seine est complètement prise par les glaces (minimum de température -14°1 à Paris le 12 janvier. Les froids tardifs de mars retardent les travaux agricoles. L’hiver, très rigoureux, tue une partie des oliviers en Provence (-10° à Nîmes le 10 janvier).
Janvier : émission pour 6 millions à 5 % de rentes perpétuelles.
25 février : un édit crée des droits nouveaux sur la poudre à poudrer et sur les bougies, rétablit les anciens droits sur les suifs, et augmente les droits sur les papiers et le parchemin.
27 septembre : une ordonnance réunit l’administration des galères du roi à celle de la marine. Elle supprime définitivement l’usage des galères et fait cesser le service des condamnés sur cette espèce de bâtiment. Les prisonniers sont transférés aux bagnes de Toulon (1748) et de Brest (1749). Quelques galères subsistent cependant à Marseille jusqu’en 1781 et à Toulon jusqu’en 1814.
14 octobre-6 novembre : grève des ouvriers tondeurs de la manufacture de Sedan contre le règlement du leur imposant le portage des draps au séchoir.
Octobre : Montesquieu publie à Genève « De l’esprit des lois », qui plaide pour la séparation des pouvoirs dans les gouvernements. L’ouvrage a un immense retentissement, mais est attaqué par les jésuites et les jansénistes, qui critiquent violemment son éloge de la religion naturelle (1749-1752). La faculté de théologie de Paris examine l’ouvrage (1750), puis le censure définitivement en 1754. Le pape le met à l’Index en 1751.
↑Gérard Gayot, « La longue insolence des tondeurs de draps dans la manufacture de Sedan au XVIe siècle », Revue du Nord Année, no 248, 1981 =, p. 105-134 (présentation en ligne).