Dans le monde d'aujourd'hui, Littérature hongroise est un sujet qui a acquis une grande pertinence dans différents domaines. De la politique à la science, en passant par la culture et la société en général, Littérature hongroise a suscité un intérêt croissant au cours des dernières décennies. Que ce soit en raison de son impact sur la vie quotidienne des gens ou de ses implications à long terme, Littérature hongroise est devenu un facteur déterminant dans la prise de décision mondiale. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Littérature hongroise et son influence sur le monde moderne, ainsi que ses conséquences possibles pour le futur.
La littérature hongroise est l'ensemble des œuvres littéraires écrites en hongrois ou par des auteurs hongrois (y compris des diasporas et des exils) dans d'autres langues.
Cette littérature remonte aux premiers chroniqueurs hongrois qui relatent les légendes du peuple magyar (La Légende du cerf merveilleux ou La Légende du touroul). Jusqu'au XVIe siècle, les chroniques, les légendes et les hymnes ont dominé la culture littéraire.
La poésie lyrique, qui devient ensuite une spécialité hongroise, est annoncée par Janus Pannonius (1434-1472), puis Bálint Balassi (1554-1594).
Au XVIIe siècle, le baroque est représenté par Miklós Zrínyi avec son épopée Péril de Sziget.
Le courant philosophique et littéraire de la fin du XVIIIe siècle est marqué par quelques grands noms : Ferenc Kazinczy ou Mihály Csokonai Vitéz.
Quatre poètes dominent cette période de changement :
La littérature dramatique :
Au début du XXe siècle, la fondation, en 1908, de la revue Nyugat (Occident, disparue en 1941) permet de rassembler de nombreux écrivains autour de l'impressionnisme, du symbolisme, du réalisme ou du naturalisme, notamment Endre Ady (1877-1919), Attila József (1905-1937), Dezső Kosztolányi (1885-1936), Gyula Krudy (1878-1933), Mihály Babits (1883-1941), Árpád Tóth (1886-1928), Gyula Juhász (1883-1937), Frigyes Karinthy (1887-1938), Lőrinc Szabó (1900-1957) et Milán Füst (1888-1967).
Parmi les autres collaborateurs : Hugó Veigelsberg Ignotus (en) qui, après la mort de Pál Gyulai en 1909, devient le critique littéraire dominant, jusque dans les années 30. Miksa Fenyő, Lajos Hatvany, Zsigmond Móricz, Margit Kaffka (1880-1918), Géza Csáth, Béla Balázs, Lajos Nagy, Viktor Cholnoky (hu), Oszkár Gellért (hu), Ernő Szép (hu), Zoltán Zelk, Áron Tamási, Gyula Illyés, Sándor Weöres, István Vas, Miklós Radnóti, Géza Ottlik, Gelléri Andor Endre (hu), Jékely Zoltán (hu), Kádár Erzsébet (hu)...
Sous l'ère communiste, se développe entre autres le roman, ainsi qu'une nouvelle poésie lyrique. On remarque Tibor Déry (1894-1977), János Pilinszky (1921-1981), Sándor Weöres (1913-1989), Ádám Bodor (1936-), Ferenc Karinthy (1921-1992), Sándor Márai (1900-1989), Örkény István (1912-1979), László Krasznahorkai (1954-), Agota Kristof (1935-2011), György Petri (1943-|), Péter Esterházy (1950-2016), Magda Szabó (1917-2007), Péter Lengyel (1939-), Péter Nádas (1942-), András Simonffy (hu) (1941-1995), Lajos Grendel (hu) (1948-) et Ivan Wernisch (en) (1942-).
En 2002, Imre Kertész (1929-2016), survivant de la Shoah, reçoit le Prix Nobel de littérature.
Parmi les professionnels de théâtre :
Iván Bächer, Péter Bacsó, Miklós Bánffy, Lajos Bíró, Janka Boga, István Csurka, Géza Fodor, Ladislas Fodor, Imre Földes, Milán Füst, Árpád Göncz, Gyula Háy, Arthur Holitscher, Sándor Hunyady, Ida Jenbach, János Kemény, Miklós László, Melchior Lengyel, Rudolf Lothar, Ferenc Molnár, László Németh, János Nyíri, Károly Pap, Erno Polgar, György Schwajda, Tamás Simon, Alfred Soultan, András Sütő, Magda Szabó, Dezső Szomory, Johann von Vásáry, András Visky