Dans cet article, nous explorerons en profondeur Tibor Déry, un sujet qui a retenu l'attention de millions de personnes ces dernières années. Depuis ses origines jusqu'à son impact sur la société actuelle, Tibor Déry a joué un rôle important dans différents domaines, générant des débats, des controverses et des réflexions sur son importance et sa pertinence. Dans cette optique, nous examinerons les nombreuses facettes de Tibor Déry, depuis ses composants les plus basiques jusqu'à ses applications les plus avancées, dans le but de fournir une vision complète et complète de ce sujet passionnant.
Naissance |
Budapest, Empire austro-hongrois |
---|---|
Décès |
Budapest, Hongrie |
Activité principale | |
Distinctions |
Prix Kossuth (1948) |
Langue d’écriture | hongrois |
---|---|
Genres |
Œuvres principales
Tibor Déry, né à Budapest le et mort dans la même ville le , est un écrivain, scénariste et traducteur hongrois.
Fils de Károly Déry et d'Ernesztin Rosenberg, il est issu d'une vieille famille de la bourgeoisie juive de Hongrie. Partisan de Mihály Károlyi, il doit s'exiler à l'arrivée au pouvoir de Béla Kun. Il vit notamment en Autriche et en France avant de rentrer en Hongrie en 1935. Il est emprisonné sous le régime de Miklós Horthy pour avoir traduit Retour de l'U.R.S.S. d'André Gide.
Il publie en 1947 son roman le plus célèbre, La Phrase inachevée (A befejezetlen mondat), qui décrit la société hongroise de l'Entre-deux-guerres. Exclu du parti communiste en 1953, il soutient la Révolution hongroise de 1956 et est emprisonné jusqu'en 1960.
En 1971, il adapte deux de ses nouvelles autobiographiques pour le scénario de Amour (Szerelem, film hongrois réalisé par Károly Makk, qui remporte le prix du jury œcuménique et le prix du Jury au Festival de Cannes 1971. Il a ensuite signé d'autres scénarios pour le cinéma et la télévision.
Cher beau-père (Kedves bópeer !), paru en 1973, est un roman humoristique où perce une critique cynique de la société hongroise des années 1970.
Il a également traduit des œuvres de Rudyard Kipling et de William Golding en hongrois.