Dans le monde d'aujourd'hui, Consonne battue bilabiale voisée est un sujet qui a gagné en pertinence dans différents domaines de la société. De la politique à la culture populaire, Consonne battue bilabiale voisée a attiré l'attention de millions de personnes à travers le monde. Au fil du temps, Consonne battue bilabiale voisée est devenu un phénomène mondial qui a généré des débats, des controverses et, dans certains cas, un fervent suivi par ses adeptes. À mesure que le 21e siècle avance, Consonne battue bilabiale voisée continue d'être un sujet d'intérêt et son influence se reflète dans la manière dont les gens interagissent, s'informent et interagissent les uns avec les autres. Dans cet article, nous explorerons l'impact de Consonne battue bilabiale voisée sur la société actuelle et analyserons sa pertinence dans le monde moderne.
La consonne battue bilabiale voisée est un son consonantique battu assez peu fréquent dans les langues parlées. Il est généralement un allophone de la consonne battue labio-dentale voisée, bien qu’il soit la forme principale en banda ou certaines langues voisines. Elle est représentée avec les symboles API ou ou encore .
Caractéristiques
Voici les caractéristiques de la consonne battue bilabiale voisée :
Son mode d'articulation est battu, ce qui signifie qu’elle est produite en contractant brièvement les muscles d'un point d’articulation, sur l'autre.
Son point d’articulation est bilabial, ce qui signifie qu'elle est articulée avec la lèvre inférieure et les dents de la mâchoire supérieure.
Sa phonation est voisée, ce qui signifie que les cordes vocales vibrent lors de l’articulation.
C'est une consonne orale, ce qui signifie que l'air ne s’échappe que par la bouche.
C'est une consonne centrale, ce qui signifie qu’elle est produite en laissant l'air passer au-dessus du milieu de la langue, plutôt que par les côtés.
Son mécanisme de courant d'air est égressif pulmonaire, ce qui signifie qu'elle est articulée en poussant l'air par les poumons et à travers le chenal vocatoire, plutôt que par la glotte ou la bouche.
Symboles
La consonne battue bilabiale voisée n’a pas de symbole propre standardisée. Dans l’alphabet phonétique international elle est représentée avec les symboles ou ou encore .
Gordon E. Peterson et June E. Shoup utilisent une petite capitale B réfléchi ‹ ʙ › pour la consonne battue bilabiale voisée et une petite capitale B ‹ ʙ › pour consonne roulée bilabiale voisée en 1966,,.
Langues
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
(en) Kenneth S. Olson et John Hajek, « The phonetic status of the labial flap », Journal of the International Phonetic Association, vol. 29, no 2, , p. 101-114 (DOI10.1017/S0025100300006484)
(en) Kenneth S. Olson et John Hajek, « Crosslinguistic insights on the labial flap », Linguistic Typology, vol. 7, no 2, , p. 157–186
(en) Kenneth S. Olson et John Hajek, « A crosslinguistic lexicon of the labial flap », Linguistic Discovery, vol. 2, no 2, , p. 21–57
(en) Gordon E. Peterson, « The speech communication process », dans Bertil Malmberg, Manual of phonetics, Amsterdam, North-Holland, (lire en ligne)
(en) Gordon E. Peterson et June E. Shoup, « A physiological theory of phonetics », Journal of Speech Language and Hearing Research, vol. 9, no 1, , p. 5-67 (DOI10.1044/jshr.0901.05)
(en) William R. Tiffany, Phonetics, theory and application, New York, McGraw-Hill, (lire en ligne)
Les parties grisées indiquent une articulation jugée impossible. Les cases blanches vides indiquent des articulations théoriques possibles mais non encore attestées. Les cases marquées d’un astérisque (*) indiquent des sons attestés non encore représentés officiellement dans l’API.
Lorsque deux symboles apparaissent dans une case, celui de gauche représente une consonne sourde, celui de droite une consonne voisée (ne s’applique pas aux clics, présentés au centre des cases en bas du tableau).
Les cases séparées par des pointillés emploient normalement les mêmes symboles API de base, et ne diffèrent éventuellement que par les diacritiques appliqués pour déplacer leur articulation, par exemple la nasale n represente une dentale ou une alvéolaire.
Les affriquéest͡s, d͡z, t͡ʃ, d͡ʒ, t͡ɕ, d͡ʑ sont parfois notées à l’aide des ligaturesʦ, ʣ, ʧ, ʤ, ʨ, ʥ ne faisant plus partie de l’API (il est recommandé de les remplacer par les deux articulations, liées avec une ligature tirant – suscrite ou souscrite).
Les occlusivesinjectivessourdes, sont parfois notées à l’aide des symboles ƥ, ƭ, ƈ, ʠ (formés sur la base de la consonne pulmonique correspondante avec une crosse ajoutée), qui ne font plus partie de l’API (il est recommandé de les remplacer par le symbole de la consonne voisée avec l'anneau diacritique de dévoisement).