Dans cet article, nous explorerons le monde fascinant de Consonne spirante bilabiale voisée et tout ce que ce concept implique. Depuis ses origines jusqu'à son évolution aujourd'hui, Consonne spirante bilabiale voisée a joué un rôle crucial dans différents domaines de la société. Grâce à une analyse détaillée, nous examinerons l'influence de Consonne spirante bilabiale voisée sur la culture, la science, la politique et bien d'autres aspects de la vie quotidienne. De plus, nous découvrirons les différentes perspectives et opinions qui existent sur Consonne spirante bilabiale voisée, ainsi que les controverses qu'elle a soulevées au fil du temps. En bref, cet article vise à offrir une vision complète et enrichissante de Consonne spirante bilabiale voisée, dans le but d'approfondir sa compréhension et son impact sur le monde d'aujourd'hui.
Consonne spirante bilabiale voisée | ||
Symbole API | β̞ | |
---|---|---|
Numéro API | 127 + 430 | |
Unicode | U+03B2 ; U+031E | |
X-SAMPA | B_o |
|
Kirshenbaum | B<apr> |
|
modifier |
La consonne spirante bilabiale voisée est un son consonantique utilisé dans certaines langues parlées. Le symbole dans l'alphabet phonétique international est . Il s'agit de la lettre grecque bêta (β) à laquelle est adjoint un diacritique d'abaissement.
Voici les caractéristiques de la consonne spirante bilabiale voisée :
Le français ne possède pas le .
En espagnol, on trouve le , ou un son intermédiaire entre et , dans un allophone de /b/ entre deux voyelles, comme dans vivo '(je) vis'.
Le est courant en corse et correspond à la prononciation d'un v ou d'un b placé devant e ou i à l'initiale d'un mot précédé par une syllabe atone ou bien d'un v placé devant e ou i à l'intérieur d'un mot.
On la trouve, notée par "v", dans la plupart des dialectes du breton, où elle représente la mutation douce de ou à l'initiale des mots : ur vamm (< mamm) = 'une mère'; e votoù (< botoù) = 'ses souliers'. En position intervocalique interne, cette articulation tend à s'amuïr (sauf en Léonard), ce qui confirme son statut de spirante plutôt que de fricative.
Le néerlandais parlé dans le sud des Pays-Bas et en Flandres possède le , comme dans wie . Les personnes apprenant le néerlandais commettent souvent l'erreur de prononcer le graphème 'w' (en néerlandais) comme une consonne spirante labio-vélaire , autrement comme un vélarisé, ce qui contrevient à la prononciation standard du néerlandais continental (cela n'est pas toujours le cas, cfr. néerlandais surinamais )