Dans cet article, nous allons approfondir le sujet de Oisy-le-Verger et explorer ses différentes facettes. Oisy-le-Verger est un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes ces derniers temps, et c'est un sujet qui génère des opinions contradictoires. Tout au long de cet article, nous examinerons différentes perspectives sur Oisy-le-Verger, de son impact sur la société à son influence sur la culture populaire. Nous explorerons également sa pertinence dans différents contextes, tant historiques que contemporains. Grâce à cette analyse détaillée, nous espérons fournir une vue plus complète de Oisy-le-Verger et générer une réflexion plus approfondie sur ce sujet.
La commune est traversée par le canal du Nord, canal ou chenal navigable de 75,56 km, qui prend sa source dans la commune de Rouy-le-Grand et se jette dans la Somme Canalisée au niveau de la commune de Biaches, et par l'Agache, cours d'eau d'une longueur de 11,54 km, qui prend sa source dans la commune d'Inchy-en-Artois et finit sa course dans la commune de Palluel.
Paysages
Entouré au nord, à l'ouest et au sud de zones humides boisées, le village d'Oisy s'étend sur une colline sableuse qui surplombe au nord le val de la Sensée et la rivière l'Agache à l'ouest. Son paysage est en openfield et les cultures céréalières sont majoritaires.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 697 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épinoy à 4 km à vol d'oiseau, est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 702,9 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Statistiques 1991-2020 et records CAMBRAI-EPINOY (62) - alt : 76m, lat : 50°13'31"N, lon : 3°09'49"E Records établis sur la période du 01-01-1954 au 03-12-2023
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de type 1 :
les marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger. C'est un vaste complexe marécageux de 791 hectares constitué d'étangs, de boisements tourbeux, de peupleraies et de prairies alluviales et qui comporte une grande diversité de végétations aquatiques, amphibies et hygrophiles ;
le marais d’Aubigny et de Brunemont, d’une superficie de 306 hectares et d'une altitude variant de 34 à 48mètres. C'est un complexe marécageux typique de la vallée de la Sensée avec, en bordure des étangs, de belles végétations ;
le bois du Quesnoy à Oisy-le-Verger, d’une superficie de 186 hectares et d'une altitude variant de 41 à 67mètres. Cette ZNIEFF est constituée d'un bois sur sables dont la partie centrale est occupée par une carrière en activité.
et une ZNIEFF de type 2 : le complexe écologique de la vallée de la Sensée. Cette ZNIEFF s’étend sur plus de 20 kilomètres depuis les communes de Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations ; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est.
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 sur la commune
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Oisy-le-Verger est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants,.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (69,9 %), forêts (9,4 %), prairies (6,4 %), zones urbanisées (6 %), zones humides intérieures (4,3 %), eaux continentales (2,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Connu sous le nom d'Oisy depuis le IXe siècle, il ne porte la mention « le Verger » que depuis le XIXe siècle pour le différencier des autres Oisy de France et de Belgique. Le Verger est en fait le nom de l'abbaye de Sainte-Marie-du-Verger, située autrefois sur son territoire le long de la Sensée et aujourd'hui en ruine.
Histoire
Si la présence humaine est attestée dans le val de la Sensée dès le néolithique, et plus particulièrement pour Oisy dans le lieu-dit « le Vieux Marais » avec un mégalithe (dit le « Gros Caillou »), les découvertes archéologiques à proximité d'Oisy n'attestent pour l'instant que d'une occupation humaine durant l'Antiquité.
Oisy-le-Verger, petit village du Pas-de-Calais, a une histoire riche et dense qui s'étend de l'Antiquité à nos jours.
D'origine sans doute modeste, il fut un fief puissant dès le IXe siècle et le berceau d'une famille qui dominera le Cambrésis jusqu'au XIIIe siècle. Loin de retomber dans l'oubli, il perdurera jusqu'à la Révolution en tant que châtellenie importante. En 1665, la terre d'Oisy, jusque là baronnie, est érigée en comté. À cette occasion, il est précisé que située en Artois, elle relève du roi du fait du comté d'Artois. Elle possède à cette date toutes le prérogatives de justice (justice seigneuriale), féodalité, patronage de droits honorifiques d'église. Elle est d'une grande étendue et d'un revenu très considérable avec un beau château, un grand parc et plusieurs vassaux.
Le menhir, mégalithe du Néolithique, surnommé « le Gros Caillou », classé au titre des monuments historiques depuis le ,.
La découverte d'une tombe au XIXe siècle datée de la fin du règne de Postume (267) lors du creusement du canal de la Sensée fut relatée comme suit : « Le , des ouvriers occupés au curage de la Sensée, trouvent, en élargissant le lit de cette rivière, à l'endroit de la tourbière d’Oisy, le squelette presque complet d’un corps humain. Il était placé dans un long panier en forme de bière, fait de forts osiers et recouvert du côté de la tête de lourdes tuiles rouges, car là existait une assez grande ouverture carrée réservée au-dessus de la face au moment du tressage qui a dû être fait autour du corps. Le cercueil avait été placé à deux mètres environ de profondeur dans un terrain tourbeux favorable à la conservation des osiers et des ossements. À deux mètres de ce squelette était une tête de cheval encore entière mais noircie comme les autres ossements par leur séjour prolongé dans la tourbe. Au-dessus du tombeau avait été déposée une bourse en cuir que l'action de l'air réduisit en poussière aussitôt. Elle contenait 152 monnaies romaines du Bas-Empire. Vingt-quatre de ces pièces avaient été offertes par les ouvriers de monsieur Barberi, employé au canal de la Sensée. Les cent-vingt-huit autres furent représentées, mais elles étaient communes et mal conservées. Aussi ne représentaient-elles aucune valeur ni aucun intérêt. L'âge du tombeau peut être ainsi déterminé facilement et d’une manière précise par les monnaies qui l'accompagnaient. Les pièces de Postume sont celles du dernier règne qu’offre la trouvaille. Elles sont au nombre de 52 et toutes assez usées. On doit assigner à cette sépulture la fin du règne de ce tyran tué par ses soldats en l'an 267 de notre ère. Le dessin joint au rapport donne une idée assez exacte de cette curieuse sépulture : elle était placée au milieu de ces vastes marais de la Sensée qui ont été pendant si longtemps presque inabordables et n’étaient alors que des plages presque partout couvertes d’eau et de marais fangeux. Là n’a pas dû pénétrer le Romain vainqueur, et les Celtes qui boudaient l’envahisseur, avaient là toute latitude pour se cacher et y vivre en paix. »
De récentes fouilles sur les hauts du village ont mis au jour tombes, traces d'occupation et empreintes du château primitif.
Les premières conclusions prouveraient une occupation avérée vers 750 de cette partie du village. Un village complet, peuplé d'artisans, a vu le jour sous les truelles et pinceaux des archéologues.
Il est fait mention de la Maison d'Oisy pour la première fois au début du IXe siècle, lorsque Charlemagne crée Eudes d'Oisy, ber (baron) d'Oisy et châtelain de Cambrai.
Devenu à partir de cette époque un puissant fief, il relevait en grande partie du comté de Flandre et de l'évêché de Cambrai. Le tempérament querelleur de cette famille remontant au moins au Xe siècle (Gauthier Ier ; cf. aussi les articles Avesnes et Avesnes) a enclin ses membres à construire de puissants châteaux. Le château d'Oisy était situé sur l'actuelle pâture au pied de l'église. Maintes fois détruit et reconstruit, il avait encore fière allure en 1601, date à laquelle il a été peint sur l'Album de Croÿ par Adrien de Montigny.
Les chroniques de l'évêché de Cambrai relatent de nombreux conflits entre les évêques de Cambrai et leur vassal, le sire d'Oisy. Ce tempérament querelleur a conduit un de ses membres, Hugues II d'Oisy à se racheter à l'instigation de son épouse, Hildiarde et à fonder l'abbaye de Vaucelles en 1131. Cette famille a prospéré jusqu'au XIIIe siècle et le plus illustre de ses membres en fut le dernier du nom : Hugues III d'Oisy (fils de Simon, lui-même fils d'Hugues II et petit-fils d'Hugues Ier, ce dernier étant l'arrière-petit-fils de Gauthier Ier ; mort aux environs de 1190), connu pour ses qualités de trouvère et familier de Philippe Auguste, mit aussi à profit sa puissance pour soustraire la châtellenie d'Oisy à la suzeraineté de l'évêque de Cambrai et du Saint Empire, au profit du comté d'Artois et du royaume de France.
Tombée en quenouille à la fin du XIIe siècle, la châtellenie d'Oisy revint au neveu d'Hugues III, le connétable et bienheureuxJean Ier de Montmirail (1165-1217), fils d'André de Montmirail/Montmirel de La Ferté-Gaucher et d'Hildiarde d'Oisy († 1177 ; la sœur d'Hugues III), châtelaine de Cambrai, dame héritière d'Oisy, de Crèvecœur et de La Ferté-sous-Jouarre, vicomtesse de Meaux, renforçant ainsi la puissance et l'influence de cette famille de Champagne. Sous ces seigneurs, Oisy poursuivit son développement. Les Montmirail, pieux et influents, firent de nombreux dons à Oisy, fondèrent l'abbaye du Verger, une maladrerie et le dotèrent d'une charte communale, la charte communale d'Oisy, qui érigea Oisy en ville et lui permit entre autres d'avoir un prévôt et des échevins.
La Maison de Montmirail tombe à nouveau en quenouille dans la seconde moitié du XIIIe siècle, et c'est la puissante Maison des Coucy, en la personne du Grand Coucy, époux en 1213 de Marie de Montmirail (fille du bienheureux Jean), qui en prend possession. Englobée dans de vastes domaines, la seigneurie est démantelée, elle perdra :
les fiefs et possessions de la châtellenie de Crèvecœur ;
les fiefs et possessions de la châtellenie d'Arleux en Paluel et le château du Forestel ;
le château de Cambrai.
Les Maisons de Bar
À la fin du XIVe siècle, la seigneurie d'Oisy passe dans la famille de Bar (Mariede Coucy, arrière-arrière-arrière-arrière-petite-fille d'Enguerrand III et Marie de Montmirel, comtesse de Marle et de Soissons, marie en 1384 Henri de Bar) et suit les vicissitudes de son temps. À la mort de son seigneur à la bataille d'Azincourt, elle sera même occupée par des brigands en 1416.
La maison des Luxembourg
Le passage dans la Maison de Luxembourg, à partir de 1435 (Jeanne de Bar, fille de Robert et petite-fille d'Henri de Bar et Marie de Coucy, épouse alors le futur connétable Louis de Luxembourg-St-Pol), fut marqué par l'exécution du seigneur Louis en 1475 en place de Grève pour trahison envers Louis XI. Les biens confisqués par le roi ne furent rendus à la famille du connétable Louis qu'en 1487. Oisy servit jusque-là de place forte pour les guerres de Louis XI contre les ducs de Bourgogne.
La Maison de Bourbon-Vendôme
Les Luxembourg s'allièrent avec les Bourbon-Vendôme à la fin du XVe siècle (Marie de Luxembourg-St-Pol, petite-fille de Jeanne de Bar et Louis, épouse Françoisde Vendôme en 1487). La maison d'Oisy bascula alors dans les possessions de cette famille. Le plus illustre de cette branche fut Henri IV de Navarre, roi de France, arrière-petit-fils de François et Marie de Luxembourg. La châtellenie fut appréciée par ces puissants comme domaine de chasse et la toponymie d'Oisy en conserve la trace.
Henri entreprit le démantèlement de la châtellenie dès 1594, et le paracheva en 1605 en vendant ce fief dont il fut le dernier sire héréditaire.
Faute d'héritiers, la châtellenie bascula dans la famille d'Assignies, cousine de la maison de Tournay en 1679. Cette famille, militaire elle aussi, fit à son tour souche à Oisy jusqu'à la Révolution. À la veille de celle-ci, le comte d'Oisy usait d'encore un bon nombre de ses droits féodaux et la justice était rendue à Oisy à cette période. Il logeait et chassait à Oisy dans un château classique de pierre blanche détruit en 1793. Ils sont enterrés dans une chapelle de l'église d'Oisy.
Les biens sont confisqués vendus et démantelés. Faute d'héritiers, le titre de comte d'Oisy passe dans la famille belge de Plotho d'Ingelmunster et de nos jours dans celle des comtes de Montblanc.
Président de la CC de Marquion (2001 → 2013) Réélu pour le mandat 2014-2020,,,
29 mai 2020
En cours (au )
Marie-Christine Guénot
Ancienne employée Élue pour le mandat 2020-2026,
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007.
En 2021, la commune comptait 1 188 habitants, en diminution de 4,65 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 574 hommes pour 634 femmes, soit un taux de 52,48 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,1
90 ou +
3,0
6,5
75-89 ans
12,3
18,8
60-74 ans
19,5
23,1
45-59 ans
20,9
16,3
30-44 ans
16,8
19,0
15-29 ans
14,3
15,2
0-14 ans
13,2
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage
L'église Saint-Didier d'Oisy-le-Verger a été reconstruite après la Première Guerre mondiale. Elle est faite de brique rouge comme la plupart des habitations des environs.
À Oisy-le-Verger se dressait le château d'Oisy, dont il ne reste que quelques fondations.
Sur la place Verte se dresse le monument aux morts tombés pour la France au cours des deux grands conflits mondiaux. Les morts aux combats, natifs de la commune, ont laissé leur nom à de nombreuses rues d'Oisy-le-Verger.
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Il n'en reste que le pigeonnier et quelques murs, elle abrite de nos jours un camping.
↑Ce qui doit sans doute expliquer, encore aujourd'hui, que malgré la proximité de Cambrai, Oisy se trouve avec ses villages environnants en Pas-de-Calais et qu'il dépende d'Arras.
↑Le Forestel, château fort d'Arleux, est connu dès le XIIe siècle. Il paraît avoir été bâti par les puissants sires d'Oisy, châtelains de Cambrai et seigneurs vicomtiers d’Arleux. Le Forestel était situé à gauche de la chaussée d’Arleux à Palluel. Plusieurs branches de la Sensée, et les marais impraticables en faisaient un poste de guerre important.
↑Il existe un lieu-dit du terroir qui s'appelle « Le Saut des loups » en souvenir d'une chasse au loup menée par Henri IV, au cours de laquelle on perdit la trace des loups au-dessus d'un chemin.
↑À condition de reprendre les noms et Armes des Tournay.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑« Intempéries de fin octobre : 30 premières communes en état de catastrophe naturelle », La Voix du Nord, (lire en ligne).
↑Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 284.
↑(nl + fr + de) Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Nord-Frankrijk en West Duitsland (vòòr 1226), Antwerpen, , 1407 p. (lire en ligne), p. 760.
↑Christophe Le Couteux (photogr. Matthieu Botte), « Le menhir d’Oisy-le-Verger et ses mystères stimulent l’imaginaire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Dancoisne : Bulletin de la Commission des Antiquités départementales, 1859
↑L'abbaye de Vaucelles, d’après le Camerus Christus, p. 297.
↑Enguerrand de Monstrelet, Louis Douët-d'Arcq, III, p150, 1859
↑Dictionnaire historique de la ville de Cambrai et du Cambrésis par Bouly, 1854
↑Julien Lechevestrier, « Le bilan des maires à Oisy-le-Verger- Jean-Pierre Léger : « Je suis très fier de la construction de l’EHPAD » : Jean-Pierre Léger, 65 ans, briguera un quatrième mandat en mars 2014 à Oisy-le-Verger (1 300 habitants). « On ne voit pas le temps passer et je suis très attaché à mon village », déclare l’élu qui est également président de la communauté de communes de Marquion, qui fusionnera avec Osartis au 1er janvier. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Oisy-le-Verger: Jean-Pierre Léger réélu maire par les conseillers : Jean-Pierre Léger entame son quatrième mandat d’élu. Samedi 29 mars, dans la salle d’honneur de la mairie, les quinze élus ont procédé à l’élection du premier magistrat. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑J. L., « Oisy-le-Verger (les projets des maires): « si la maison de retraite pouvait trouver un repreneur…» : Jean-Pierre Léger a entamé en mars son quatrième mandat à la tête de Oisy-le-Verger. Une commune de 1 270 habitants qui veut réparer au plus vite son église et trouver un repreneur à l’ancienne maison de retraite. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).