Dans le monde d’aujourd’hui, Tramway de Nice et du Littoral est un sujet qui a retenu l’attention de millions de personnes à travers le monde. Que ce soit en raison de sa pertinence historique, de son impact sur la société actuelle ou de son influence sur la culture populaire, Tramway de Nice et du Littoral est un phénomène qui a suscité débat, admiration et controverse. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Tramway de Nice et du Littoral, en analysant son importance dans différents domaines et en examinant son évolution au fil du temps. De son apparition sur la scène publique à ses multiples interprétations, Tramway de Nice et du Littoral est un sujet qui ne laisse personne indifférent, et son actualité reste palpable aujourd’hui.
Tramway de Nice et du Littoral | ||
Le tramway à Nice place Masséna. | ||
Situation | Nice | |
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Type | Tramway | |
Entrée en service | ||
Fin de service | ||
Longueur du réseau | 144 km (1930) | |
Lignes | 4 (1878) | |
Trains | 183 (1930) | |
Écartement des rails | 1 000 mm | |
Plan des réseaux secondaires des Basses-Alpes et du Var en 1928 En double trait, le réseau TNL. En trait épais, le Sud-France/CF Provence | ||
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Le Tramway de Nice et du Littoral était un réseau de tramway qui a desservi Nice et les communes du département des Alpes-Maritimes entre 1878 et 1953.
La Société financière de Paris, associée à la Société de Travaux Publics et de Constructions, se voit chargée de la construction et l'exploitation d'un réseau de tramway à chevaux, en 1876 par la ville de Nice.
Un premier service de tramway à traction hippomobile, est mis en service le et inauguré le suivant.
Le réseau comprend 4 lignes :
Les lignes sont établies à voie unique à l'écartement de 1 440 mm.
Le réseau est rétrocédé à la Compagnie Générale des Omnibus de Marseille, le . Puis après la déchéance de cette dernière, la Société nouvelle des Tramways de Nice (SNTN) reprend l'exploitation du réseau, en 1887.
Par ailleurs, la Compagnie Anonyme des Tramways Électriques de Nice-Cimiez se voit attribuer une concession pour une ligne de tramway, entre la rue de l'Hôtel des Postes et le jardin zoologique de Cimiez, par décret du . Cette ligne est construite à l'écartement de 60 cm et utilise la traction électrique par accumulateurs du fait de son profil difficile. Elle est mise en service le .
Cette compagnie, nouvellement créée se substitue à l'ancienne « Société nouvelle des Tramways de Nice », le .
Son but est :
Les lignes ouvrent dans l'ordre suivant :
Le centre du réseau est situé sur la place Masséna où convergent la majorité des lignes.
Toutes les lignes sont électrifiées par caniveau souterrain dès leur mise en service, et un parc de 100 motrices est utilisé.
La Compagnie des Tramways de Monaco est fondée en 1897 par monsieur Crovetto entrepreneur monégasque.
Elle obtient la concession de plusieurs lignes :
Cette ligne relie Nice, Villefranche, Beaulieu, Monaco et Monte Carlo par un tracé établie sur la route en corniche. Elle est ouverte le . Un prolongement de Monaco à Menton est ouvert le . La ligne est en contact avec le réseau des tramways urbains de Monaco.
Les extensions ont lieu à deux titres :
Le réseau départemental de tramways comprend un ensemble de 14 lignes à construire qui sont attribuées aux TNL et à la Compagnie des chemins de fer du Sud de la France. Cette dernière les confiera à sa filiale : la compagnie des tramways des Alpes-Maritimes.
Les lignes ont été réparties selon des critères géographiques de proximité des réseaux. Ainsi les TNL ont obtenu la concession des lignes suivantes :
Toutes ces lignes sont déclarées d'utilité publique le .
Le tramway atteint ainsi Antibes, où il donne correspondance au réseau des tramways de Cannes.
Cette ligne reliant Menton à Sospel est ouverte le , dans le cadre de la construction du réseau départemental. Sa longueur est de 18 km. Elle marque la fin de l'extension des TNL.
En une quinzaine d'années, la croissance de la population de Nice et des villes et villages des alentours a nécessité un développement rapide du réseau.
En 1930, le réseau TNL comptait 144 km de voies, et possède alors un parc de 183 motrices et 96 remorques.
Les lignes côtières souffrent de la forte concurrence des véhicules routiers. Elles disparaissent dès 1929. La totalité du réseau suburbain est supprimé en 1934. À l'époque, la presse, enthousiaste pour l'automobile, a salué la disparition de ce vieux moyen de transport.
La municipalité décide alors de fermer progressivement les lignes urbaines. Seules quatre lignes subsistent en 1939 :
Pendant la Seconde Guerre mondiale, deux lignes sont rouvertes. Tous les autobus ont été réquisitionnés.
Les lignes de Contes et de La Grave de Peille sont également rouvertes.
Le réseau compte alors 48 motrices et 22 remorques (quelques motrices furent reconstruites en 1942).
Après la Seconde Guerre mondiale, le réseau de tramways, ayant souffert des années de guerre et d'occupation, est remplacé par des trolleybus. Les premiers engins de ce type sont mis en service à partir de 1942 sur la ligne de Cimiez (ligne 35). Le dernier tram circule le .
Les lignes furent supprimées dans l'ordre suivant :
Il existait un trafic de marchandises,
Automotrices
Remorques
L'ancien dépôt "Sainte Agathe" de la compagnie TNL à Nice, est devenu Nice TNL un centre commercial situé dans le quartier de Riquier.